La première dame des États-Unis Jill Biden vient de se rendre à un événement officiel en portant une robe bleue brodée d’un tournesol à la manche. Soit la fleur et les couleurs symboliques de l’Ukraine.
Jill Biden vient-elle d’apporter son soutien à l’Ukraine à travers sa tenue ? Le 2 mars 2022, lors du discours sur l’état de l’Union (State Of The Union, souvent abrégé SOTU) qui est un événement annuel aux États-Unis au cours duquel le président présente son programme pour l’année en cours devant la branche législative du gouvernement fédéral, la Première dame des États-Unis a fait une apparition remarquée.
Avec un tournesol sur la manche de sa robe bleue, Jill Biden soutient l’Ukraine
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La docteure en sciences de l’éducation portait une robe bleue, brodée d’un tournesol sur l’une des manches, soit la fleur et les couleurs symboliques du pays européen actuellement attaqué par la Russie.
Au-delà du symbole vestimentaire, Dr. Jill Biden a également étreint l’ambassadrice d’Ukraine aux États-Unis, Oksana Markarova, tandis que le président des États-Unis ouvrait l’événement par la phrase suivante :
« Poutine pensait qu’il pouvait nous diviser, mais il avait tort. »
La séquence a suscité une standing ovation dans l’assistance, rapporte The Independent. La veille, le 28 février, la Première dame des États-Unis portait également un masque orné de tournesol, probablement en soutien à l’Ukraine, lors d’un déplacement officiel.
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Comment les tournesols deviennent un symbole de résistance ukrainienne
Cette fleur nationale du pays attaqué devient d’autant plus puissant dans les esprits, puisque certaines femmes ukrainiennes en proposent des graines à des soldats russes comme un acte de résistance. Dans une vidéo en train de devenir virale, une courageuse Ukrainienne pleine de gouaille ose même cette phrase coup de poing :
« Prenez ces graines et mettez-les dans vos poches. Comme ça, des tournesols pousseront quand vous serez tous morts. »
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Crédit photo de Une : capture d’écran Twitter de @flotus / capture d’écran YouTube Guardian.
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