Cascadeur chante Walker à l’omnichord

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— Les magnifiques photos sont © Diane Sagnier

C’est Lucie, ma RP adorée chez Mercury, qui m’a filé le CD promo de Cascadeur en novembre. Un mec de dos, en combi, avec un casque sur la tête. « Qu’est-ce que c’est encore que ce truc ? Un gars qui se la joue Daft Punk, c’est ça ?… VUUUU ET REVUUUU n’en jetez pluuus ! »…

Voilà donc ça, c’était pour la séquence « d’abord tu écoutes et seulement après tu ouvres ton claque-merde ». J’ai donc mis la galette dans le mange-disque et… cette voix… j’ai pris une foutue tarte.

Depuis, j’ai posté une news sur Cascadeur en live (va voir !), j’écoute en boucle cet EP, attendant avec impatience l’album (qui va sortir prochainement) et après avoir dégusté ses titres comme je me languis devant un Merveilleux de chez Fred, je comprends et j’appréhende bien mieux d’où sort ce « personnage » casqué.

Si ce masque semble donner au personnage une distance vis-à-vis du commun des mortels, quand il l’enlève, Cascadeur est un mec chaleureux, agréable et sensible. Tiens, ça tombe bien, tout comme sa musique et cette voix androgyne. Une très chouette rencontre pour une très chouette session acoustique au Point Éphémère, un endroit hors-norme dans Paris.