Allez, soyons honnêtes deux secondes : qui n’a jamais passé des heures à se demander si sa dernière story Instagram n’était pas un poil gênante ? Ou si les gens au bureau nous jugeaient après cette petite boulette en réunion ? On a toutes connu ça, et c’est normal ! Après tout, on est des êtres sociaux, on a besoin de se sentir aimées et acceptées. Mais quand ça vire à l’obsession, ça peut vite devenir un vrai calvaire. Alors, comment arrêter de se prendre la tête avec ce que les autres pensent de nous ? Let’s go, on démêle tout ça ensemble.
Le piège du regard des autres
Attention, je ne dis pas qu’il faut complètement s’en ficher de ce que les autres pensent. On n’est pas des robots, après tout ! Le problème, c’est quand ça prend trop de place dans notre vie. Quand on commence à modifier nos comportements, nos décisions, juste pour plaire aux autres… là, ça devient toxique.
Si vous passez votre temps à essayer de deviner ce que les autres pensent de vous, à vous façonner pour correspondre à leurs attentes… C’est épuisant, non ? Sans parler du fait que vous passez à côté de la vraie vous. Et franchement, c’est dommage, parce que je suis sûre que la vraie vous est géniale !
Reprendre le contrôle : mode d’emploi
Allez, trêve de blabla, passons aux choses sérieuses. Voici quelques astuces pour arrêter de vous prendre la tête avec l’opinion des autres :
- Rappel réalité : personne ne pense autant à vous que vous ! Bon, ça peut paraître un peu brutal dit comme ça, mais c’est la vérité. Tout le monde est le centre de son propre monde. Cette erreur qui vous fait perdre le sommeil ? Il y a de grandes chances que personne d’autre ne s’en souvienne. Ouf, non ?
- Stop aux films dans votre tête : on adore se faire des scénarios catastrophe, pas vrai ? « Et s’ils pensent que je suis nulle ?« , « Et s’ils me trouvent bizarre ?« … Stop ! À moins d’avoir des super pouvoirs télépathiques (et si c’est le cas, appelez-moi !), vous ne pouvez pas savoir ce que les autres pensent. Alors à quoi bon se torturer ?
- Distractions, le meilleur des remèdes : quand vous sentez que vous commencez à ruminer, faites quelque chose. N’importe quoi ! Écoutez votre playlist préférée, allez courir, rangez votre armoire… L’idée, c’est d’occuper votre cerveau pour qu’il arrête de tourner en boucle sur ces pensées négatives.
Changer de perspective
Vous savez quoi ? Notre cerveau est un peu vicieux. Il a tendance à se focaliser sur le négatif plutôt que sur le positif. C’est ce qu’on appelle le « biais de négativité ». Sympa, hein ? Mais pas de panique, on peut le combattre !
- La chasse aux compliments La prochaine fois que quelqu’un vous fait un compliment, notez-le ! Dans votre téléphone, dans un carnet… peu importe. L’idée, c’est d’avoir une petite réserve de positif sous la main pour les jours où vous doutez.
- Les faits, rien que les faits Quand vous commencez à stresser sur ce que les autres pensent, prenez un pas de recul. Qu’est-ce qui est vraiment arrivé ? Pas ce que vous imaginez, juste les faits. Ça aide à remettre les choses en perspective.
- Parlez-en ! Si vraiment quelque chose vous tracasse avec une personne en particulier, pourquoi ne pas lui en parler directement ? Attention, pas d’accusation du style « Tu me détestes, c’est ça ? ». Restez cool, exprimez ce que vous ressentez. Vous serez peut-être surprise du résultat !
Bon, soyons réalistes : on ne va pas arrêter du jour au lendemain de se soucier de ce que les autres pensent. Et c’est normal ! L’important, c’est de ne pas laisser cette préoccupation prendre le contrôle de votre vie. La vie est trop courte pour la passer à s’inquiéter de ce que les autres pensent.
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Les Commentaires
Et je lui répète tout le temps que je suis fière, qu'elle est courageuse, etc, chose qui m'ont manquées dans mon enfance. J'ai mis un temps fou à me démarquer du regarde des autres, et c'est pas encore gagné, mais aujourd'hui avec un job où je sais que je suis compétente, un mari et 2 beaux enfants, ça aide. Si je ne plais pas comme je suis, "my bad" comme disent les English.
J'ai jamais été plus heureuse que depuis que j'ai arrêté de faire ce qu'on attendait de moi et d'être juste moi-même, même si ça veut dire parler trop fort parfois...