Le 2 octobre 2013 – Le clip de Work Bitch est sorti ! J’aimerais avoir mille blagues à faire dessus, mais tout ce qu’il m’évoque, c’est qu’on dirait vaguement une version plus chère de Say You’ll be there des Spice Girls.
Le truc rassurant, c’est qu’on sait comment les shortys dorés ont été payés : les placements produits pour les Lamborghini ou les enceintes sans fil Beats by Dr Dre sont, tu en conviendras, assez peu discrets.
Alors oui, Britney met bien quelques coups de fouets et c’est la foire aux combinaisons en latex, mais diantre que c’est gentil. Même la principale concernée n’a pas l’air hyper convaincue par sa propre choré :
Tout cela ne vaut pas Dance Bitch par Aaron Paul (a.k.a. Jesse Pinkman).
Le 16 septembre 2013 – Il y a quelques jours de cela, Britney Spears nous dévoilait un avant-goût en pixels de sa toute nouvelle chanson avec une photo frappante à bien des niveaux. Tournant le dos à un miroir, elle porte un body à paillettes et des espèces de plumes bleues et arbore un air complètement badass, genre « Y A QUOI BANDE DE NOUILLES ? ». Une expression faciale tellement mondano-ghetto qui me fait dire qu’elle a dû écouter un peu trop de Sexion d’Assaut.
Bon, ok, elle est probablement un peu photoshopée. Et son visage a tellement changé qu’elle ne ressemble plus vraiment à la Brit Brit qu’on a connue. C’est pas le fait qu’elle a sûrement eu recours à la chirurgie esthétique qui me chiffonne — après tout, personne ne peut juger qui a le droit de se faire refaire le nez et tirer l’épiderme, c’est son problème, c’est plutôt le fait que ça lui donne d’un coup l’air d’avoir plus de 31 ans.
Ce week-end, cette chanson qu’elle annonçait a fini par fuiter sur Internet. Du coup, la version officielle, d’une meilleure qualité, est sortie quelques heures plus tôt que prévu. Je sais pas toi, mais après sa période r’n’b cheap et son ère à l’électro façon Eric Prydz, j’espérais un retour à de la pop de qualité plus traditionnelle. Bon…
Ma déception est totale. Mon opinion, c’est qu’à part dans la salle de musculation des abdos-fessiers d’un établissement sportif aux néons fluo, Work, bitch (Travaille, salope) ne s’adapte à aucune situation. À ma décharge, mon amour de la dance commence et s’arrête à Freed from desire de Gala, alors je reviens de loin.
Et finalement, je me demande si je préférais pas sa chanson pour les Schtroumpfs. Au moins, je ne me sentais pas agressée du tympan.
Ceci dit, une partie de ses fans est absolument dingue de ce morceau, alors je m’incline et m’éloigne à reculons de ce débat qui s’annonce houleux. Et toi, tu te places où ?
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