Boris Bergmann, la nouvelle coqueluche littéraire de toute une génération de quinzenaires, a remporté il y a peu le Prix de Flore du lycéen grâce à son premier roman Viens là que je te tue ma belle (éditions Scali). Après avoir reçu cette distinction, il a reçu par mail des textes de la part de tas de « gens de (son) âge, de tous les milieux sociaux, qui m’ont écrit pour (lui) parler de leur passion d’écrire et de leur envie d’être publié ».
Il n’en fallait pas moins pour qu’il arrive à convaincre son éditeur d’organiser un concours, appelé « Le Grand Jeu », dont le but est d’aider des jeunes talents à trouver un éditeur.
On pourra toujours grogner et répliquer à l’éditeur qu’après tout, il ne fait que son boulot, mais cette initiative est à saluer : c’est pas tous les jours qu’on donne à des mômes de 15 piges l’opportunité d’être édité. Et Boris Bergmann l’a bien compris, puisqu’il conclue son "Appel du 8 décembre" (rien que ça) par un éloquent « Parce que nous sommes le futur, parce que la culture n’est pas morte et parce que nous allons vous le montrer. »
Toutes les infos sur le site web de scali, www.scali.net.
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Les Commentaires
Mais l'idée de ce concours est plutôt bonne, c'est sur que pour les jeunes qui écrivent, c'est une bonne opportunité