L’année se termine, et la rédac’ a le plaisir de vous présenter ses chansons préférées de 2015. Ça va swinguer sur les chaises de bureau et twerker sur les canapés !
Cet article a été réalisé dans le cadre d’un partenariat avec Spotify.
Conformément à notre Manifeste, on y a écrit ce qu’on voulait.
— Article initialement publié le 14 décembre 2015
La fin de l’année approche, c’est donc le moment où on fait le bilan, calmement, en se remémorant chaque instant. Mais on parle pas des histoires d’avant comme si on avait 50 ans, parce qu’on en est pas encore là. Alors à la place, on a décidé de vous livrer le meilleur de notre top musical de 2015 à la rédaction, où ça fourmille de goûts variés mais où on arrive quand même à se mettre d’accord pour chanter du Garou toutes en choeur !
Le choix de Mymy, rédactrice en chef adjointe
Mymy, notre cheffe à toutes, adore dormir (qui n’a pas vu ses photos de sieste, bonnet enfoncé sur le nez, n’a jamais mis les pieds chez madmoiZelle). Quand on y pense, c’est plutôt logique qu’elle ait choisi un titre qui parle d’aller roupiller tard, à savoir À l’heure où je me couche, le premier extrait musical de Comment c’est loin, le tout premier film du rappeur Orelsan, dans lequel il s’associe à Gringe, son poto des Casseurs Flowters. Voilà ce qu’en dit la principale intéressée :
« J’aime beaucoup ce que font Orelsan et Gringe. Leur précédent album m’a accompagnée une bonne partie de l’année dans mes voyages en bus, et je suis super contente de les revoir à la fois dans Bloqués et dans Comment c’est loin, leur film (je me suis même inscrite à l’avant-première, fait rarissime) ! Le rythme traînant et entêtant d’À l’heure où j’me couche couplé aux paroles un peu défaitistes me rappelle mes années post-adolescence, dépourvues de toute motivation, dans un petit appartement pas super propre, et ça me fait kiffer car j’en suis sortie. »
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Cy. et ses crayons affutés ne sont pas les derniers à bouger leur boule en poum-poum short sur la piste de danse pendant les Grosses Teufs madmoiZelle. Et ça se ressent : en souvenir de 2015, notre graphiste a choisi deux titres qui filent la patate-frite et donnent au choix l’envie de lever le poing et de gravir des montages, ou de remuer du popotin. Le premier c’est Stole The Show, du musicien et DJ norvégien Kygo avec le chanteur américain Parson James. Attention, vous allez être surpris•e•s après les 50 premières secondes :
« Parce qu’elle pourrait être dans Le Roi Lion cette musique. Surtout le petit sample là : « pipapou pipou pipou ». Hum. Bref. » [NDLR : on a tout compris. Non.]
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Le deuxième, c’estLean On de Major Lazer (le personnage derrière lequel se cachent les producteurs Diplo et Switch), en featuring avec DJ Snake et MØ. Un méga carton de 2015 avec un clip exotique que je t’invite à aller voir si ce n’est déjà fait :
« J’ai écouté cette chanson non-stop depuis sa sortie. Elle donne la pêche. La nana qui danse dans le clip a TELLEMENT le swag. J’me sens hyper stylée quand je l’écoute dans la rue, alors qu’en fait, pas du tout. »
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Derrière son écran XXL, Mélissa compile les témoignages avec patience, très souvent avec des écouteurs dans les tympans (ce qui ne l’empêche pas d’être toute ouïe pour nous). Elle fait aussi de la danse hip-hop et est toujours volontaire quand il s’agit d’accompagner une de ses collègues en concert. C’est d’ailleurs comme ça qu’elle a découvert le titre qu’elle vous a sélectionné pour le top 2015, Alone, tiré du nouvel album de Selah Sue, la Belge à la voix fascinante :
« Entendu pour la première fois en concert, c’était très cool ! J’ai ensuite découvert qu’il y a à la prod’ quelqu’un dont j’aime beaucoup le travail : Robin Hannibal, notamment aux manettes du groupe Quadron avec Coco O. Ça ne pouvait qu’être bien ! »
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Notre très classe Virginie le dit tout net : elle a une préférence marquée pour la pop et les chanteurs morts. En matière de musique, elle se surnomme elle-même « Dame Verge les bons goûts » (comprendra qui voudra). Sur le papier, ça n’avait pas l’air très simple de lui faire choisir un interprète encore vif en 2015, mais Virginie s’est attelée à la tâche avec autant de sérieux qu’à ses super tutos beauté. Elle vous livre donc ses kifs, en commençant par Pas Là de Vianney, le jeune chanteur français qui monte :
« J’ai choisi Pas là, mais en vrai, j’aimerais bien mettre tout l’album Idées blanches, qui contient plusieurs pépites parfois humoristiques et souvent émouvantes. J’ai eu un gros coup de cœur pour cet artiste à la voix singulière et à la musicalité certaine. Sa reprise de Lean On de Major Lazer envoie d’ailleurs du pâté (vegan) ! »
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Et bien sûr, Virginie a dégoté de la pop sur laquelle chanter, avec Pray, de la jeune chanteuse américaine Bebe Rexha :
« J’ai la manie d’adorer les chanteuses à la voix sucrée qui ont dix ans de moins que moi. Bebe, qu’il ne faut surtout pas laisser dans un coin, raconte sa dure vie d’adolescente, entre alcool et petits mecs, sur des mélodies entraînantes et assez addictives. J’ai hâte de la voir évoluer ! »
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Juliette n’est pas seulement une accro des sapes, c’est aussi une joyeux luronne qui aime faire rigoler ses collègues. Elle a donc commencé par me citer Les Enfoirés et Black M en haut de son top musical 2015, avant d’affirmer qu’elle déconnait (maintenant tout le monde peut apprécier son humour) (ou les goûts qu’elle camoufle à la vue de tous). Bref, quand Juliette a remis ses lunettes teintées du sérieux, elle s’est finalement décidée pour le titre Sugar, via la version du DJ et producteur allemand Robin Schultz en featuring avec Francisco Yates :
« Je kiffais la chanson originale de de Baby Bash, et j’trouve le remix très sympa ! »
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Et parce qu’on arrête jamais Juliette quand elle est sur le dancefloor, elle se fait aussi des kifs sur Downtown, du rappeur américain Macklemore :
« Le clip est ouf, et la musique entraînante ! »
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Clémence Bodoc a beau écrire tous les jours sur des sujets sérieux et/ou déprimants, dès qu’on parle de musique, elle mute en Pokémon du love à tendance ohlala. Ceux et celles qui la connaissent l’ont déjà vu clamer sans honte («restez bien zen les rageux » dit-elle) son amour incompris pour des boys-bands adulescents. Clémence Bodoc a donc choisi d’en remettre une couche avec sa sélection de 2015 : Repeating Days des R5.
« J’aime la nostalgie et le seum de cette histoire de rupture blasée, sans grands cris ni torrents de larmes, seulement la fatalité d’une relation terminée. Et le goût amer que tu rumines sur ce refrain, qui t’entraîne un peu comme on se force à reprendre une vie normale, quand on a l’impression d’avoir perdu toutes ses habitudes. La petite reprise acoustique à la fin m’a fait tellement de bien la première fois que je l’ai entendue !
Y a d’autres titres que j’ai beaucoup aimé sur leur album, je suis pas sûre de savoir vraiment pourquoi c’est celle-là que je préfère (Wild Hearts est très cool aussi). Leurs producteurs leur avaient écrit tout un album, et ils ont préféré tout reprendre de zéro, paroles et musique, et faire tous les arrangements eux-mêmes, ce qui a décalé la sortie du disque de plus de 6 mois. Beaucoup de respect pour leur démarche. »
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Margaux kiffe les casseroles… ce qui ne veut pas dire qu’elle n’aime pas la bonne musique, bien au contraire. À tel point qu’elle est systématiquement la première à lever le doigt pour préparer la playlist d’une soirée, et qu’elle a toujours un titre à suggérer pour écrabouiller ta purée en toute quiétude. Son titre préféré pour l’année 2015, c’est donc Claque-Le de Bagarre, un groupe français qui assemble les sons pour faire de la musique de club avec swag :
« Je l’ai écouté et chanté en boucle depuis que c’est sorti. Le clip est trop cool aussi et j’adore ce groupe ! »
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Quand Sophie Riche, drôlissime ambassadrice de la cup, adepte de la bonne vanne et des arabesques littéraires, parle de musique, c’est toujours avec amour. Elle dit avoir eu un peu de mal à sélectionner un seul titre sur l’année 2015. Elle a hésité entre deux chansons qu’elle écoute facilement cinq fois de suite : River du duo Ibeyi, et I love you Honey Bear de Father John Misty, ancien des Fleet Foxes. C’est finalement cette dernière qui a eu sa préférence :
« Je trouve cette chanson dingue et un peu fascinante. Le fait qu’elle ne parle pas naïvement d’une relation amoureuse, mais qu’elle soit même parfois carrément trashy, me plaît pas mal. Ça change, j’trouve ça drôlement stylouche. Ce qui l’est encore plus, c’est le contraste entre ces paroles (qui parlent de sang, de sperme, de doigter, mais aussi beaucoup d’amour, parce que l’un n’empêche pas l’autre) et la musique, qui fout des frissons et fait pas les choses à moitié en terme de grandiloquence.
Y a des percussions, y a des choeurs derrière, y a des violons, c’est presque trop dans l’arrangement, mais en fait non. C’est totalement parfait. Trodlov pour cette chanson. Frissons tout l’temps, lassitude nulle part. »
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Léa, c’est notre Madame Musique à la rédac’, ou DJ Ridou, comme on dit pour les intimes. Déjà parce qu’elle est derrière un bon paquet de sessions acoustiques, et ensuite parce que c’est elle qui fait la programmation musicale dans l’open-space à partir de 16 heures tous les vendredis. Souvent pour le meilleur. Parfois pour, euh… L’expérience. Du coup, quand on lui demande son top 2015, Léa ne sort pas un titre mais trois. Avec d’abord, pour danser, I Know There’s Gonna Be (Good Times) de Jamie XX, producteur anglais superstar :
« C’est ma chanson de la rentrée, de l’été indien, celle que je mettais les week-ends avant de sortir faire la fiesta. Rien de particulier à dire, pas de tirade et autres compliments, c’est juste un son que j’ai apprécié écouter, qui me donne la pêche, me fait sautiller sur ma chaise de bureau et me rappelle de jolis souvenirs. »
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Et comme on n’a jamais trop d’amour, Léa en file un paquet avec On ne dit jamais assez aux gens qu’on aime qu’on les aime, un joli titre en quatuor de la famille Chedid, le papa Louis, Matthieu -M-, Sélim et NACH:
« C’est sans aucun doute une des chansons qui m’a le plus touchée récemment (je suis dans l’émotion avec mes choix). Je la trouve très juste, touchante et très pudique à la fois. J’adore la famille Chedid, tous individuellement, mais les voir tous ensemble chanter cette chanson (du père à la base), c’était le combo parfait. J’en ai profité pour l’envoyer à mes proches et leur faire passer un petit message – genre « bisous j’t’aime bien ». »
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Et elle poursuit sur le même thème avec une chanson toute récente, Pocahontas de Grand Corps Malade :
« Une très belle déclaration à la famille (encore !), un texte qui m’a beaucoup touché, accompagné d’un clip original et très bien réalisé. Ça rappelle des souvenirs et ça donne envie d’en créer de nouveaux. »
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Sarah Bocelli écrit sur la mythologie, les bouquins, les mystères de l’ordinateur et les animaux rigolos, et quand je lui ai demandé de me filer son top musique, elle a haussé un sourcil avant de farfouiller dans ses souvenirs. L’élu de cette quête, c’est donc Rule The World de Walk Off The Earth, un groupe canadien qu’on connaît d’abord pour ses reprises (à noter que ce choix est approuvé par notre vidéaste Mélanie, que ça arrange bien) :
« Puisqu’il a fallu choisir et que Take Me To Church est sortie en 2014, alors je pars sur cette chanson de Walk Off the Earth. Je connais pas plus que ça le groupe, je suis en train de me dire que je n’ai d’ailleurs toujours pas vu le clip, mais j’ai quand même pas mal écouté cette chanson (genre en boucle). Il n’y a rien de mieux à lancer dans ses oreilles quand on sort de chez soi le matin à moitié réveillée. Tu te sens un peu comme le roi du monde, tu vois qu’est-ce que j’veux dire ?! Bref, ça met la patate (et les lardons avec). »
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C’est moi qui suis allée soulever tous les écouteurs de mes chèr•e•s collègues pour savoir ce qu’ils et elles écoutent. Le reste du temps, j’ai un casque visé sur les oreilles, je traîne sur Spotify et j’écume les CD qu’on reçoit. Bref, si je devais retenir une chanson de 2015, ce serait une signée The Weeknd, parce que cet artiste canadien est un peu une des révélations grand public de l’année à mes yeux.
Je vous recommande Losers, que j’ai écoutée en boucle pendant au moins un mois. J’aime tout là-dedans : l’intro au piano, le refrain chaloupé, les arrangements électro, la voix sensuelle de l’interprète et… sa coupe de cheveux. Ouais ouais.
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Vous vous souvenez du collectif Saïan Supa Crew,ceux qui chantaient Angela ? Dans ce groupe, il y avait un certain Sly Johnson, qui s’est lancé en solo depuis, et se situe quelque part entre le funk, la soul et le hip-hop. J’ai eu la chance de le voir en concert sur les Berges de la Seine au début de l’été, et ça a changé ma vie (j’exagère à peine). J’ai donc choisi EVRBDD (Everybody Dancing), un morceau de son nouvel album, qui donne à la fois envie de chiller et de danser.
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Comme c’est moi qui écris l’article, je prends la liberté d’ajouter un troisième titre (qu’est-ce que tu vas faire), qui est un peu mon coup de coeur de la fin d’année. Il s’agit de Slow Motion de Bombay, un groupe de rock indé originaire d’Amsterdam, qui m’a fait bondir d’extase dès la première écoute. C’est du rock un peu brut de décoffrage, avec de la grosse basse et des guitares énervées qui donnent envie d’agiter la tête dans tous les sens. Ça fait longtemps que j’avais pas entendu un truc aussi kiffant.
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Madeleine a débarqué chez madmoiZelle il y a quelques mois, mais elle s’affirme déjà par un choix musical qui devrait vous faire vibrer pour achever cette année 2015. Elle recommande Reality Cuts Me Like a Knife de Faada Freddy, chanteur et rappeur sénégalais au timbre voilé. Un titre qui groove, techniquement impressionnant, puisqu’il n’utilise pas d’« instruments » au sens où on l’entend parfois, comme elle l’explique :
« C’est une trop belle musique avec pour seuls instruments la voix et le corps. Les paroles sont une bonne leçon de vie (bien qu’un peu triste) ! »
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Véro, notre traffic manager au grand sourire, est la gentillesse incarnée. Mais attention, Véro écoute du gros son lourd, et sur une scène avec un bonnet sur la tête, personne ne peut l’arrêter dans le groove. Véro est aussi une fan de rap, et elle a tout naturellement sélectionné le son d’une rappeuse américaine pour incarner l’année 2015. Le choix de Véro, c’est donc Missy Elliot, qui signe son retour avec WTF (Where They From).
« Parce que c’est LE grand retour de la Queen du Hip Hop. Un morceau d’une patate inégalable, qui me donne envie de re-foncer direct à mon ancien cours de hip-hop pour un bon battle. Avec Pharrell Williams en plus, que demander de mieux ! »
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Thomas a des goûts musicaux extrêmement pointus, et son truc de base, c’est plutôt la minimale. Il a eu beaucoup de mal à sélectionner un morceau mainstream de l’année 2015 – on s’attendait à un chant breton parce qu’il est très fier de ses origines, mais en fait, non. Thomas a choisi Apathy, du beatmaker et producteur américain Shlohmo, et je te laisse sur la sublime chronique qu’il fait de ce titre :
« Une track absolument sublime, un voyage hallucinatoire dans les tourments de chacun à l’effet profondément cathartique, en parfaite adéquation avec le style brut, lacérant mais toujours juste propre aux productions de Shlohmo. »
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Amy est parmi nous depuis quelques jours, et j’avais hâte de savoir ce qui se trame dans ses oreilles. Major Lazer a visiblement fait un paquet d’émules dans la rédac’, car après Cy., Amy a choisi un de ses titres, Too Original, en featuring avec Elliphant et Jovi Rockwell. Et voilà pourquoi :
« C’est le seul groupe au monde qui va pouvoir me faire aimer des sonorités proches de celles des Balkans. Cette chanson me donne trop la pêche. Et le petit qui danse dans le clip gère bien. Je crois que ça a a été repris pour une pub, et dans mon esprit, c’est associé à la bonne humeur du spot. »
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Dans un tout autre genre, Amy a choisi une chanson de Fauve, Les Hautes Lumières, le premier extrait de l’album Vieux Frères Partie 2 :
« J’ai écrit tout mon mémoire avec Fauve, et les rythmes de l’album sont parfaits pour se concentrer. Ça déprime un peu (si peu), mais ça met dans une ambiance particulière pour faire de la prose sur un sujet et écrire des pages et des pages. Tout ce que t’écris devient plus poétique, quoi. »
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Pour terminer 2015, je laisse la parole à Fab, qui nous a sélectionné Uptown Funk de Mark Ronson, un titre dansant un peu trop iconique de l’année :
« Moi, j’ai choisi Uptown Funk : non pas parce que c’est ma chanson préférée de l’année ou parce que j’ai plus dansé dessus que d’autres, mais bel et bien parce qu’elle représente à elle seule une fantastique aventure humaine. Début mai, donc, je m’envole pour 15 jours à New York en amoureux avec ma chère et tendre, et Mymy, pleine d’attention, m’envoie ce petit SMS sympa :
Roh, elle est rien sympa, Mymy, elle va s’occuper de tout pendant que je déconnecte un peu et que je prends du bon temps à 6 000 km de là. 24 heures plus tard, je reçois un nouveau message, cette fois-ci sur Facebook :
Il s’avère que Mymy s’est pété la gueule et double-fracturé la cheville sur le titre phare de Bruno Mars. On en rit aujourd’hui, mais le timing n’était pas spécialement idéal pour des tas de raisons.
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Et si toi aussi tu as envie de twerker sur ton propre best-of 2015, Spotify te propose de revivre ton année (et celle du monde entier !) en musique sur le site Year in Music !
Et si le film que vous alliez voir ce soir était une bouse ? Chaque semaine, Kalindi Ramphul vous offre son avis sur LE film à voir (ou pas) dans l’émission Le seul avis qui compte.
Les Commentaires
10
4 janvier 2016 à 15h01
Leona B.
Moi on m'aurait demandé de trouver une chanson pour l'année 2015, j'aurais été tellement prise au dépourvu que j'aurais sans doute cité Patrick Sébastien
(je suis certaine qu'il a fait un truc en 2015) (c'est Patrick, quand même, il a la classe)
Les Commentaires
(je suis certaine qu'il a fait un truc en 2015) (c'est Patrick, quand même, il a la classe)