Le Best-of des commentaires #54 : bidet controversé et raton-coiffeur

Encore une semaine de commentaires plein d’amour, d’humour et de prose de qualité. Ça devient une habitude…

Hey toi, ici ton humble Queen Cam, grande monarque de rien du tout mais merci de me laisser rêver.

Du rêve, vous nous en avez encore vendu cette semaine dans les commentaires du site et sur les rézos.

Allez, suivez-moi, c’est par là !

Les commentaires floués du bidet

Cette semaine, vous m’avez apporté un soutien tout particulier suite à mon article sur la meilleure façon de s’essuyer aux toilettes.

Je vous avouais en effet avoir très longtemps cru que les bidets été faits pour se laver les pieds (pour la bonne et simple raison que c’est ce que me disaient mes parents) et j’ai été ravie d’apprendre que je ne suis pas la seule à avoir été flouée à ce sujet :

Le savoir est une arme. Maintenant tu sais.

Le commentaire avec les dents

Le mercredi est le jour béni où je te délivre une vidéo spécialement créée pour ton plaisir et ta joie (ABONNE-TOI BB).

Cette semaine dans la Boîte à Q, j’aborde le thème du consentement pour répondre à une lectrice qui n’a pas envie de sucer son mec insistant.

Ma proposition était avant tout de communiquer, mais des solutions plus radicales existent :

Non vraiment les enfants, n’utilisez pas la violence svp…

Le commentaire de circonstance

AAAAAAH. C’est le bac et, malheur, tu as tes règles. Ne panique pas, Mymy a préparé un article pour toi. Apparemment, l’une d’entre vous a tiqué sur le verlan du mot règles, mais bon, c’était de circonstance :

Ah bah nickel.

Le commentaire qui CLASHE

Bonjour, c’est Juliette et STOP !

On arrête de rigoler, les gens sont EN FEU dans les commentaires. Manu a écrit un article sur les dangers des petites lunettes, très appréciées sur Instagram et à Coachella.

Apparemment, elles protègent mal des rayons UV, mais pour certain·es, le danger est ailleurs…

ALORS PERSO, je trouve ça un petit peu abusé de critiquer l’esthétique de ces lunettes à petits verres, franchement.

Et non, je ne dis pas ça parce que j’en ai une paire.

Le commentaire du malentendu

Jeudi 21 juin a eu lieu une conférence sur les enjeux des nouvelles technologies sur la gestion des règles dans la vie des femmes.

Ce sujet s’appelle : la MenstruTech. Tu l’as compris, c’est la contraction de menstrues et de technologie. Ça paraît simple et pourtant, y en a dans le public qui n’ont pas bien COMPRIS.

Je ne vise personne.

Bon, j’avoue, j’ai ri aussi.

Les commentaires choqués

C’est toujours moi, Juliette. Cette semaine, j’ai aussi partagé le témoignage d’une jeune femme qui a arrêté de complexer des poils de chatte par rapport aux mecs.

Et oui l’article s’appelle : La première fois qu’on m’a léché la chatte poilue.

Sur le forum, il y a presque 5 pages de personnes qui avouent ne pas aimer ce titre, le trouver vulgaire et ne pas comprendre pourquoi cet intitulé :

C’est vrai, ça, excellente question.

Pour y répondre, j’ai choisi ce titre parce que c’est comme ça que la madmoiZelle qui témoigne parle de cet organe chez elle.

Évidemment, elle a validé le texte avant publication, titre compris.

Ensuite, oui, j’avoue, chatte poilue, ça fait plus cliquer que coquillage, ou sexe féminin, ou vulve avec des poils.

Je voudrais profiter aussi de ce best-of pour rappeler qu’un titre clickbait désigne un intitulé qui incite les gens à cliquer pour une information de piètre qualité (si info il y a). Tous pleins d’exemples si tu cliques ici, la 3e va t’étonner de ouf.

Je ne nie pas que le titre de cet article est racoleur, mais il respecte la vérité du témoignage derrière (ce qui est la moindre des choses). En clair, l’article répond à la promesse du titre.

Libération aussi fait des titres un peu provocateurs sur son journal, ce n’est pas pour autant que leur travail journalistique est mauvais.

Bon et puis, une chatte c’est d’abord la femelle du chat. Je trouve ça mimi, perso.

Le commentaire « tout est lié »

Hello Miguela, c’est Kalindi !

Ça va bien ? Sache que j’ai écrit un article hautement débile sur les sosies de stars. Bien sûr, cet article est 100% sponsorisé par la mauvaise foi.

Dedans, je révélais que mon mec était le sosie de Monsieur Poulpe, photo à l’appui. Et une lectrice m’a révélé ceci :

Du coup je me pose la question ? Est-ce que mon mec a encore un sosie, ou alors est-ce que je suis cocue ?

Le commentaire qui a de la suite dans les idées

Salut salut, c’est Lucie ! En découvrant une vidéo de la chaîne As/Is qui expérimentait les compétences en coiffure d’un raton laveur (pour faire comme dans Pocahontas), je me suis empressée de vous la relayer. L’une d’entre vous s’est montrée très pragmatique.

À bien y réfléchir, elle a tout à fait raison :

Et qu’il fasse la vaisselle, d’ailleurs, histoire qu’il porte convenablement son nom.

Le commentaire foireux

Coucou c’est Elise ! Cette semaine, Natoo a réalisé une vidéo les différents moyens de contraception. L’article qui la relayait été titré : Natoo te parle contraception… même si elle n’a pas réponse à tout !

Ça a inspiré un commentaire sur Facebook :

Heureusement, je suis bon public, et ça m’a fait rire. Alors au nom des blagues vaseuses, à toutes celles qui tombent dans les puits du silence et de l’incompréhension, je mets ce commentaire ici.

La comparaison universelle

Queen Camille a écrit un article sur ce que c’est qu’être jeune, fauchée mais épanouie. Nombreux sont vos petits messages pour rappeler que l’argent ne fait pas le bonheur, et vous avez complètement raison.

Une personne a bien réussi à faire passer le message, grâce à une comparaison universelle :

Clair comme de l’eau de roche, reçu 5/5, limpide.

Le commentaire qui s’offusque

Notre Lucie Kosmala nationale a écrit un article pour clamer son amour pour les sacs bananes. Au détour de sa sélection pointue, elle t’explique pourquoi tu devrais toi aussi donner sa chance à cet accessoire trop souvent décrié.

On pouvait s’en douter, cette prise de position a créé des clivages. Ça part sur beaucoup de synonymes de l’expression « lâche immédiatement cette banane ».

Je pense pouvoir affirmer sans trop m’avancer que cette personne préfère les besaces.