Reprenons étape par étape l’art du maquillage, avec comme postulat de départ : l’optimisation des moyens, carte blanche sur le budget et temps illimité (On peut rêver nan ? Dans la vraie vie, un coup de poudre de perlimpinpin vite fait sur la gueule suffit, mais là on parle de ravalement de façade en règle).
La démarcation parfaite made in Vaness
Étape 1 : un teint parfait
L’autre jour, j’ai vu l’horreur, l’ignominie, la hantise d’une vie, le détail que toutes les filles traquent et qui n’échappe au regard de personne… la oh combien fameuse (et néanmoins méprisée) démarcation de fond de teint. Joue orange sur cou blanc. Le signe d’un maquillage bâclé, négligé ou plus simplement témoin honteux d’un manque d’expérience. Je dis STOP, je me lève et je m’insurge !
Un bon teint, c’est évidemment une belle peau dont on prend soin. Si comme moi, à 26 ans, vous avez encore de l’acné juvénile et que la dermato vous jette un regard dépité » ah bah si vous en avez encore à votre age, vous en aurez toute votre vie (sous-entendu « ma pauv’ fille ») », une hygiène irréprochable s’impose. Eau micellaire matin et soir, crème hydratante, assainissante, matifiante, dépouffifiante et en cas de gros spot; crème de destruction massive.
Après ça, le maquillage peut commencer. On prépare la peau avec une base, qui va permettre d’unifier le teint, le matifier et prolonger la tenue du fond de teint.
Le choix du FDT est primordial. La plupart des filles ont longtemps hésité à en mettre, rapport aux démarcations. Comme pour tout dans la vie, il faut le bon tosma et de l’entrainement. Alors à noter qu’entre la base lissante et le FDT, on peut utiliser d’autres produits pour cacher des imperfections. Crème verte pour masquer des rougeurs par exemple (pratique avec l’acné donc…).
Poudre libre ou compacte, crème, mousse… il faut essayer et trouver la matière avec laquelle on est le plus à l’aise et le résultat qu’on souhaite (plus ou moins couvrant/naturel). Il faut choisir le mode d’application doigt, pinceau, éponge, truelle… ce qui module aussi le rendu. Pour choisir la couleur, c’est bien connu, il faut prendre une teinte qui colle à sa teinte naturelle (au pire, un poil plus soutenue, mais surtout pas plus foncée malheureuse !) et ne pas faire le test sur sa main! Par habitude, je mets le fond de teint (mousse) sur le visage (en évitant les sourcils !), mais aussi le cou et le décolleté, histoire d’être sure qu’il n’y ait pas de différence.
Avant ou après le fond de teint, on utilise de l’anti-cernes et on évite d’avoir la main lourde n’est-ce pas!
Après, on met du blush, qui sert à donner bonne mine et moduler subtilement la forme de son visage avec des zones d’ombres. Mêmes consignes par rapport à la matière, l’application, etc. Quant à la couleur, en général c’est rosé pour les peaux claires et orangé pour les autres.
Après, on utilise une poudre de finition, transparente qui va illuminer le teint et fixer le fond de teint. Et nous voilà sublimes, un teint de poupée, prête à poursuivre le ravalement.
Récapitulons : on a utilisé 8 produits différents, 200€ et on obtient une peau sublimée, irréaliste qui fera tomber les bonhomme comme des mouches. Après, on peut s’attaquer au reste du chantier (suite au prochain épisode…)
Rien ne vaut une bonne vidéo pour visualiser la préparation du teint :
https://www.youtube.com/watch?v=rzRTEJo9YYI
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