Virginie Bonnet et Alexandre Laclaverie ont fondé les Ouvrières, une toute jeune marque que j’ai découverte sur le blog In & Out, qui exploite le bois en bijoux de doigt et c’est bien chôli.
Ils fabriquent tout eux-mêmes (sauf le bois, on a pas encore trouvé le moyen d’en pondre), du dessin à la production, avec du bois recyclé.
En tout, ce sont 11 modèles de bagues pour l’instant disponibles, du pistolet à la serrure, un téléphone aussi mais surtout un diamant et un petit beurre de LU. C’est mignon, c’est régressif à souhait et chaque bague est livrée dans son étui rétro (en bois lui aussi) qui se transforme facilement en objet de collection ou de déco.
Seul petit hic, je me suis demandée comment on pouvait bien ajuster des bagues en bois. D’autant plus couillon, qu’on ne peut pas. Les bagues en bois des Ouvrières sont toutes vendues en taille unique
(la taille 54), donc si tu fais partie comme moi des très nombreuses personnes à ne pas connaître leur tour de doigt (j’ai déjà du mal à me rappeler la taille de mon soutien-gorge), direction cette page pour voir si ton Knacki rentre dans le trou.
Si tu as le finger trop gros, je n’ai pas de solution miracle sous le coude en revanche si tu as le doigt un poil trop fin, sait-on jamais, ceci a bien dû être créé dans un but particulier : gagner son doigt de bonhomme Michelin (je ne recevrai aucune réclamation si vos mains se transforment en mini-bouées).
Quant au prix de 22€, c’est certes un peu chéro pour une petite bourse mais je trouve que ça reste très raisonnable compte tenu du fait-main made in France et de l’originalité du produit.
Dernier petit conseil : ne pas passer sa bague sous l’eau si l’on veut la conserver en bon état le plus longtemps possible !
Alors séduite par une petite bagouze à message ? Pour voir tous les modèles en détail c’est par là !
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Les Commentaires
La bague Beurre Lu m'a trop donné envie de l'offrir à ma soeur ( c'est son surnom "Lu" mais là ça sera trois fois trop grand.