En partenariat avec PKJ (notre Manifeste)
Que faisais-tu et où étais-tu le 7 janvier 2015, jour des attentats de Charlie Hebdo ?
Si tu souhaites raconter ton histoire sur madmoiZelle, envoie-moi un mail à l’adresse jaifaitca[at]madmoizelle.com, avec en objet « Le jour des attentats de Charlie Hebdo ».
Tu as jusqu’au mercredi 11 décembre inclus pour témoigner.
N’oublie surtout pas de mentionner ton prénom, ton âge, et si tu souhaites être anonyme ou non si ton témoignage vient à être publié.
Si tu as besoin de plus d’informations, ou d’un peu d’aide pour démarrer l’écriture, tu en trouveras dans cet article !
J’ai mis quelques minutes pour me souvenir de ce que je faisais et où j’étais le 7 janvier 2015, jour des attentats à la rédaction de Charlie Hebdo qui ont causé la mort de 11 personnes.
Cela m’a pris quelques minutes parce que finalement, cette journée était d’une banalité sans nom. J’étais en hypokhâgne, assise sur ma chaise du lycée Molière dans le 16e arrondissement de Paris, en cours de littérature.
Et je ne réalisais pas, au moment où ma prof annonçait cet évènement meurtrier, que c’était bien réel, ni même à quel point ce moment était grave et historique.
À la place du cœur, un récit d’amour et de traumatisme
Si je ravive aujourd’hui en toi le souvenir peut-être encore frais et douloureux de cet évènement, c’est dans le cadre de la sortie en format poche le 9 janvier 2020 du livre À la place du cœur d’Arnaud Cathrine.
Ce livre, c’est le récit de 6 jours de janvier 2015 où la France entière, et même le monde, ont basculé dans l’effroi. Et c’est aussi le récit de 6 jours dans la vie de Caumes, 17 ans, qui vit son premier amour.
Alors qu’il doit rejoindre son frère à Paris, le 6 janvier 2015, Caumes ne pense qu’à Esther, qui l’a enfin remarqué.
Mais l’histoire d’amour naissante de Caumes et Esther, avec comme perspective l’obsédante première fois et la passion, va se juxtaposer avec l’histoire tragique et traumatique des attentats.
Quelques jours d’amour, mais aussi une semaine rivée sur les écrans à tenter de mesurer l’horreur à l’œuvre, à tenter de ne pas confondre l’information en flux continu avec un thriller télé de plus.
Comment l’amour cohabite-t-il avec la mort et l’Histoire en marche ? C’est la question à laquelle À la place du cœur tente de répondre, en nous faisant découvrir des personnages jeunes, fougueux et très attachants.
Et c’est pour cela que je te sollicite, lectrice, lecteur, pour raconter ta réalité de cet évènement.
Les attentats de Charlie Hebdo en janvier 2015 : où étais-tu ?
Où étais tu le 7 janvier 2015, jour des attentats de Charlie Hebdo ? Que faisais-tu ? Comment t’es tu sentie ? Comment as-tu vécu cet évènement ? Comment as-tu vécu ta semaine ?
Si tu en as envie, et que tu t’en sens le courage, tu peux me raconter ton histoire et ton vécu de cet évènement.
Envoie-moi un mail à l’adresse jaifaitca[at]madmoiZelle.com, avec comme objet « Le jour des attentats de Charlie Hebdo ». Tu as jusqu’au mercredi 11 décembre inclus pour témoigner.
Surtout, ne te bride pas ni dans la longueur, ni dans les détails. L’important, c’est qu’il ressorte de ton texte tout ce que tu as vécu, ressenti, le détail de ton quotidien qui a été d’une façon ou d’une autre impacté par cet évènement tragique.
N’oublie pas également de mentionner ton prénom, ton âge, et si tu souhaites être anonyme ou non si ton témoignage est publié dans la compilation finale.
Que ton témoignage soit sélectionné ou non, tu recevras une réponse de ma part pour t’en informer. Et bien entendu, je reste à ta disposition par mail ou en commentaires de cet article pour toute question.
À lire aussi : Ces 2 histoires d’amour atypiques vont faire battre ton cœur
Pour témoigner sur Madmoizelle, écrivez-nous à :
[email protected]
On a hâte de vous lire !
Les Commentaires
Puis non désolé mais pour moi tout le monde peut parler, y a assez d'espace de parole pour tout le monde unno: si on était à l'époque des journaux papiers uniquement, où le nombre de pages est limité, je veux bien, mais sur Internet tout le monde a la place de parler unno: et au pire tu lis que les témoignages de victimes si les autres t'intéressent pas, mais de là à dire que c'est indécent que les gens s'expriment...bah c'est ça que je trouve déplacé. De toute façon on a pas dit que c'était comparable à ce qu'on vécut les victimes unno: tu peux avoir un ressenti en ayant conscience que c'est pas au même niveau de gravité, et rappeler aux gens d'écouter les victimes en premier.