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Vie quotidienne

5 choses que j’ai apprises au lycée alors que c’était pas au programme

Hors des salles de classe, il y a toute une vie et des milliers d’enseignements à tirer des couloirs et abords du lycée. Mathilde te raconte ce qu’elle en a retenu, et qui l’a forgée pour le reste de sa vie.

En partenariat avec Sophie Dulac Distribution (notre Manifeste)

Qu’est-ce que t’as appris, à l’école ?

Qu’est-ce que tu retiens des heures que t’as passées au lycée, en cours ou au C.D.I. ?

Qu’est-il important d’apprendre au lycée ?

Lorsque j’ai vu le film Premières Solitudes, un film qui sort le 14 novembre 2018 au cinéma, j’ai redécouvert le lycée à travers ses couloirs, ses discussions dans les toilettes des filles, ses questionnements de cours de récré, et surtout, à travers le regard de ses lycéen·nes.

Je me suis rappelé à quel point ces moments non-scolaires, entre le self et les bavardages en cours, ou les passages à l’infirmerie plus ou moins motivés, avaient forgé celle que je suis devenue. Alors j’ai eu envie d’écrire sur les enseignements que j’ai tirés de cette étape de ma scolarité, des leçons « hors programme », loin d’être académiques, mais qui ont eu le mérite de faire de moi une adulte.

Le lycée m’a appris à savoir ce qui est bon pour moi, et à défier l’autorité

Je t’avais déjà raconté dans ma « lettre à l’ado que j’ai été » comment j’avais été plus ou moins écartée de mon lycée parce que je souhaitais sauter une classe ; puis comment je l’avais quitté, sans regrets, pour réaliser mon projet.

Voilà l’une des fois où j’ai du aller contre l’autorité, et où j’ai compris que ce qui était bon pour moi était le plus important. Plus important que faire la « bonne élève », même.

Ça n’a pas été la seule fois où cela a eu lieu.

J’évoluais alors dans un contexte familial assez désastreux. Le jour où j’en ai eu marre de me sentir en danger, ainsi que ma sœur ; le jour où je me suis sentie éreintée de voir l’accablement de ma mère face aux services sociaux,  j’ai tiré la sonnette d’alarme et j’en ai référé à l’assistante sociale de l’établissement.

Si elle a réalisé un travail incroyable, ses collègues du conseil général vers qui elle m’a renvoyée ont empiré la situation dans laquelle ma sœur et moi nous nous trouvions.

Moi qui avais grandi sans faire trop de vagues, je me suis indignée et soulevée, parce qu’il était temps que les choses changent, et que je n’avais plus la patience d’attendre que les adultes et leur système tout pété comprennent que nous étions en danger. J’étais en colère, je l’ai fait entendre.

C’était peut-être une des premières fois où j’ai agi en adulte, de manière aussi responsable et aussi pertinente.

Clamer mon mécontentement envers ceux et celles qui non seulement ne me venaient pas en aide, mais en plus m’enfonçaient dans ma détresse en provoquant l’ire de mon père toxique, c’était juste, c’était osé, et c’était avant tout la meilleure chose à faire.

Ce sont avec ces expériences que j’ai appris à contredire les affirmations à l’air implacable des adultes lorsque je ne suis pas d’accord, à lutter et à continuer d’exprimer mon opinion tant que la situation ne me convient pas.

C’est aussi ce qui m’a permis de comprendre à quel point j’ai raison lorsque je pense que tel ou tel choix est le meilleur pour moi, et combien je dois m’y accrocher, sans jamais rien lâcher, malgré les obstacles.

Au lycée, j’ai appris combien j’étais angoissée… Et comment le gérer

Je ne veux pas dire avec tout cela que je ne doutais jamais quant à mon avenir.

Au moment où on te demande de le choisir d’une manière présentée comme ferme et définitive, le futur est souvent plus source d’angoisses qu’autre chose.

Justement, j’étais — et je suis encore — quelqu’un d’anxieux, terriblement. Je ne m’en étais pas vraiment rendu compte, puisque à la fin du collège, j’avais bloqué en moi tous les sentiments et ressentis, précisément parce que je ne savais pas comment les gérer.

Sans que je ne sache exactement pourquoi ni comment, cette coquille s’était fragilisée, jusqu’au jour où elle a éclaté. Ça s’est traduit par une sorte de phobie scolaire : je ne pouvais plus vraiment aller en cours, je faisais des crises d’angoisse plusieurs fois par semaine, je n’arrivais pas à me concentrer, je ne pouvais même plus réviser.

Et si tu commences à me connaître, tu sais à quel point j’aime l’école (puisque je déteste les vacances), et à quel point mon perfectionnisme me tient à cœur. À ce moment-là, j’aurais voulu faire la femme forte, et ne pas avoir besoin d’aide.

Force était de constater que ce n’était pas possible. Une crise d’angoisse me réduisait à néant, et sans disposer de mes pleines capacités, je n’avais d’autre choix que d’accepter l’aide qui m’était proposée.

J’ai recommencé une thérapie, j’ai appris à respirer, à trouver des pistes pour me détendre, j’ai commencé à, parfois, faire confiance.

J’ai appris que j’étais capable de tout grâce au lycée

Dans de telles conditions, et même si avant cela j’excellais à l’école, avoir mon bac s’annonçait difficile.

Pendant les six derniers mois de terminale je ne suis plus allée en cours, sans les rattraper de chez moi. Mes moyennes en physique et en maths sont passées de 15 au premier trimestre à 1,5 au second, puis remontées à… 2, au troisième.

Pour un bac S, c’était mal barré.

À vrai dire, sans compter les résultats, je ne savais même pas si j’allais être capable de présenter l’examen, vu l’état de stress constant dans lequel je me trouvais alors.

Mais à force de travail, d’accompagnement, d’amitié, de bienveillance, de résilience, à force de ne pas lâcher, je l’ai fait. Non seulement j’ai présenté le bac, mais je l’ai eu, et-avec-mention-s’il-vous-plaît.

Si j’avais surmonté cela, je serais probablement capable de presque tout surmonter. Et la suite de mon chemin m’a montré que je ne m’étais pas trompée.

Comment être populaire au lycée, et comment dépasser ses préjugés ?

Si jusqu’alors j’avais à peu près toujours été entourée des mêmes personnes depuis la primaire, si je n’avais jamais vraiment eu besoin de faire l’effort de rencontrer mes camarades et de m’intégrer, le lycée a changé la donne.

Après une brève expérience d’internat où j’avais déjà dû faire connaissance avec d’autres lycéen·nes, je suis revenue dans mon lycée de secteur, mais en ayant sauté une classe.

Tous les groupes étaient déjà formés depuis plusieurs mois voire années, je ne connaissais personne, j’étais la petite gamine, la nouvelle, et je pense que j’étais morte de trouille.

J’ai appris à aller vers les autres, même si de prime abord nous n’avions pas grand-chose en commun. J’ai appris à créer ma place, à prendre l’air avenant, à nouer des amitiés.

Moi qui avais une vision d’autrui très péjorative de base, j’ai confronté mes préjugés à la réalité, et appris à les dépasser.

Un exemple concret : dès les premiers jours, j’ai rencontré une camarade de classe opposée à moi en tous points — excepté le prénom, car elle s’appelle aussi Mathilde.

Une magnifique blonde à l’air froid, dans un ciré rose Barbie et dont les T.P.E. portaient sur la chirurgie esthétique. Autant te dire que ça m’a très rapidement repoussée, et nous nous sommes courtoisement haïes l’une l’autre pendant plusieurs semaines, d’un commun accord.

Le hasard des choses a fait qu’un jour, sans trop de raison autre que l’oubli d’un livre, nous sommes devenues amies, et ne nous sommes plus quittées pendant deux ans.

J’étais persuadée qu’elle n’était qu’ennuyante et superficielle ; j’ai compris qu’il me faudrait toujours aller plus loin dans les rencontres à venir, et cesser de juger au premier regard de la valeur d’une personne, quelle qu’elle soit.

Le lycée, quand commence l’âge adulte, loin des « socles communs »

Ce ne sont là que quelques exemples de tout ce que m’ont appris mes années lycée.

Elles correspondent aussi à la première fois que j’ai fait des choix déterminants, par exemple concernant mon orientation, ou à l’apprentissage de l’autonomie comme avec les quelques mois d’internat que j’ai faits.

Si ça n’a pas été une partie de plaisir, je sais que plus qu’un simple programme scolaire, j’ai appris pendant les intercours et les pauses café, petit à petit, à devenir une adulte. J’ai appris à compter sur moi parfois plus que sur les autres, et doucement j’ai grandi. Ou plutôt mûri — c’est le terme qu’on utilise lorsqu’on sort de l’enfance, non ?

J’ai retrouvé cela en voyant Premières Solitudes : les questionnements d’ados qui se cherchent, dont la vision sur le monde n’est plus tout à fait naïve et reste pleine de fraîcheur.

Ça m’a rappelé la « moi » de 13 ans, qui se croyait si mature et pourtant n’était encore qu’une enfant. J’imagine que dans 5 ans, j’aurais la même vision de la « moi » actuelle.

Probablement qu’alors, je ferai un bilan de ce que j’ai appris à l’université, hors des bancs des amphithéâtres ; ou sur les sièges de nos bureaux chez madmoiZelle.

D’ici-là, ça me ferait très plaisir d’échanger avec toi sur ce que le lycée a pu t’apprendre, à toi ; ce que tu attends qu’il t’enseigne si tu n’y es pas encore ou ce que tu aurais aimé y apprendre et qui n’est pas au programme.

Tu peux m’expliquer tout ça dans les commentaires. Moi, de mon côté, je t’y raconterai certainement d’autres anecdotes qui n’entrent pas dans cet article déjà bien long… Alors on se dit à tout de suite, de l’autre côté ?

Premières Solitudes est un film réalisé par Claire Simon, avec des lycéen·nes. Il sera en salles le 14 novembre, si toi aussi tu as envie de te plonger dans leur vision du lycée !

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À lire aussi : Cet été qui a changé ma vie — Témoignages de madmoiZelles

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Les Commentaires

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Avatar de Amy-Amy
11 novembre 2018 à 23h11
Amy-Amy
Cet article a réveillé quelques vieux souvenirs et je me suis reconnue dans plusieurs exemples... J'avais dans l'idée d'en citer deux, mais au vu de la longueur du premier, je me contenterai de celui-là...

Le lycée m'a permis d'apprendre que non, je n'étais pas une merde et que j'étais capable non seulement de me faire de nouveaux amis, mais aussi d'être populaire. Après 4 ans de harcèlement au collège, je suis entrée en Seconde dans une classe où je ne connaissais personne (entre autre car j'avais choisi Théâtre en option lourde). Très vite, j'ai réussi à créer des liens et parmi mes camarades, deux sont devenus mes meilleurs amis durant une bonne partie de ma scolarité. Ils étaient tout pour moi et ça me faisait un bien fou de pouvoir enfin être moi-même sans me faire taper dessus, sans qu'on se moque de moi. Je n'étais plus jamais seule et ça, c'était un véritable soulagement. Ayant doublé ma seconde avec mes deux meilleurs amis, je ne sais pour quelle raison ma meilleure amie et moi nous nous sommes présentées à l'élection des délégués, avec pour concurrent, entre autre, un camarade très charismatique, qui parlait bien, qui avait de bonnes idées, un peu l'intello beau gosse quoi... A ma grande surprise, j'ai été élue dès le premier tour à la majorité absolue... Ma meilleure amie fut élue au second tour... Pour moi, c'était totalement dingue ! Je n'avais rien fait pour, mais visiblement, être gentille et rigolote (et redoublante ), ça suffit pour inspirer confiance... Cette année là fut très particulière, et je n'ai jamais été aussi bien entourée au sein même d'une seule classe... et de manière générale, j'avais réussi à faire ma place dans le lycée, beaucoup de monde me connaissait... Bref, j'étais populaire, mais dans le bon sens du terme... ça a boosté ma confiance en moi de manière phénoménale et je sentais que j'avais ma revanche sur des années de harcèlement.

Mais la vie est souvent chienne, et la popularité c'est bien, mais ça ne donne pas des bonnes notes sans un minimum de travail, que je ne fournissais pas pour passer en 1ère L. Alors à la fin de ma deuxième seconde, on m'a gentiment fait savoir que j'allais devoir changer d'orientation, et de lycée... J'ai eu le coeur brisé et cette séparation fut extrêmement douloureuse...

La rentrée suivante, j'ai donc intégré un autre lycée, dans une ville à côté de la mienne, en 1ère STT. Nouvelle classe, nouveaux cours... la seule personne que je connaissais s'avérait être ma prof d'histoire géo, celle-là même que j'avais eu en 6ème et qui ne s'était jamais gênée pour m'humilier publiquement.... Ce jour de rentrée était pour moi le premier jour d'une longue descente vers l'enfer. Du moins, c'est comme ça que je l'ai ressenti. La plupart des élèves qui peuplaient ce lycée avaient le même profil que mes harceleurs au collège. D'ailleurs certains d'entre eux y étaient encore, mais en Terminale. Et bien entendu, mes camarades de classe correspondaient parfaitement à ce profil... Oui, la vie est une chienne...

A l'époque, j'arborais un look métallo-gothique ce qui n'arrangeait rien à mes affaires... si je voulais me fondre dans la masse, c'était peine perdue... j'avais l'impression de me retrouver dans la même ambiance qu'au collège, à la seule différence près que mes deux années de seconde avaient tellement boosté mon estime de soi, voire mon égo, que je prenais la plupart de mes camarades de haut, me croyant bien meilleure qu'eux surtout au niveau intellectuel... (je n'en suis bien sûr pas fière du tout). Ceci dit, je suis quelqu'un qui un véritable bon fond et au fil des ans, j'ai revu mon jugement... Parallèlement, j'avais réussi à intégrer une bande de métalleux, qui sont devenus de supers amis (on se fréquente d'ailleurs même encore pour la plupart). Ils étaient très différents de mes amis de mon premier lycée, mais moins pédants, moins petits bourgeois et grâce à eux, j'ai appris à redescendre de mon piedestal... Petit à petit, j'ai réussi à m'intégrer, dans plein de groupes : ma classe, des groupes d'autres niveaux... Tant et si bien que je gagnais de nouveau en popularité, mais sans l'avoir forcément voulu. C'est juste que les gens m'aimaient bien, et je le leur rendais bien ! A l'époque, on partageait une salle de musique, non pas pour y jouer, mais pour écouter. On avait un planning qu'on devait partager principalement avec une bande de gars qui étaient plutôt rap / hip-hop... c'était souvent la guerre entre les deux bandes (enfin, pas au point de se taper dessus mais pas loin). Eux nous voyaient comme des satanistes (les clichés ont la vie dure) et nous on les traitait de racailles... Sauf que moi, ça m'agacait un peu tout ça... Alors un jour, j'ai fini par discuter avec l'un d'entre eux. Une vraie franche discussion qui a duré un bon moment. A partir de ce jour-là, les choses ont été bien mieux. Nous étions passés au-dessus des clichés et des préjugés, parce que deux d'entre nous avaient eu la bonne idée de DI.SCU.TER. Mais ceci n'est pas le meilleur. Non, la consécration, fut lors de ma seconde terminale (oui oui, j'ai doublé ma seconde ET ma terminale...). Cette année-là, ce fut l'année des grands changements. Mon intégration dans ma classe (qui s'avérait être presque la même que la précédente, nous étions beaucoup à avoir raté le Bac) fut totalement établie. Ca n'a pas empêché quelques coups de gueule durant l'année, mais il y avait un vrai respect mutuel entre eux et moi. En parallèle, j'avais décidé de couper momentanément les ponts avec certains amis de ma bande, parce que j'étais trop tentée de faire autre chose que bosser et si eux avaient quelques facilités, moi je devais redoubler d'effort pour tenter d'avoir mon Bac. Ca a bien foutu la merde à l'époque entre nous, mais je ne regrette pas, car je savais que c'était nécessaire. Cette année-là, je ne sais pas pourquoi, je me suis présentée aux élections du Conseil de la Vie Lycéenne. Je trouvais l'idée sympa, j'avais envie d'avoir un but, de défendre des causes, d'être utile. Alors me voilà à préparer ma profession de foi, à en parler autour de moi, mais sans vraiment y croire. C'était une idée, presque une lubie passagère...

Vint le jour des élections, et alors que je trainais dans les couloirs avec des copines, (ce qui était formellement interdit), on tombe sur une pionne qui nous apostrophe en nous demandant de nous rendre au rez-de-chaussée ou dans les espaces d'études... Et puis, elle s'adresse à moi et me dit "Au fait, on a les résultats des élections du premier tour... Tu as été élue à la majorité absolue !". J'en suis restée bouche-bée... Encore une fois. L'histoire se répétait, mais cette fois, à l'échelle d'un lycée ! J'étais totalement folle de joie. Pas d'avoir été élue au CVL. Mais d'avoir été élue de cette manière ! Pour moi, c'était LA REVANCHE de mes 4 années de harcèlement, de ces trois années plus ou moins difficiles dans mon second lycée... Ce que j'ai appris, grâce au lycée, c'était donc ça. Que je n'étais pas une merde. Que je pouvais me faire des amis. Qu'on pouvait m'aimer pour ce que j'étais. J'ai appris à avoir confiance en moi. A avoir de l'estime pour moi-même. A travailler aussi sur mon égo. A faire des choix difficiles pour mon propre bien, pour ma réussite. Je pense que ce jour-là fait partie de ceux qui ont marqué ma vie de manière indélébile. Un des meilleurs jours de ma vie, un de mes meilleurs souvenirs d'adolescente... Et quand les douloureux souvenirs de mes années de harcèlement refont surface, c'est entre autre à ce jour que je pense, et ça m'aide à me sentir mieux.
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