Mante religieuse ou génie de la mode, les avis diffèrent concernant l’impératrice, la reine, la souveraine (bon j’arrête) du Vogue américain.
Sa langue de serpent serait capable de faire pleurer Mike Tyson et de le convertir en métrosexuel. On dit sa pestitude supérieure à celle de Posh et Naomi Campbell réunies. Anna Wintour, qui siège à la rédaction de la Fashion Bible depuis 1988, a du vécu, et même si on parle d’elle comme d’un diable, le gouvernement britannique en fait sa petite fierté. En effet, elle ne vient pas d’être élue « Femme à la coupe de cheveux la plus ennuyeuse du monde », ni « Premier glacier vivant », mais « Officier de l’ordre de l’Empire Britannique ».
Pourquoi ? Héhé mon coco, c’est au Vogue US qu’elle est ! Mais l’empire british n’en a que faire : elle est anglaise et ils aiment apparemment à se le rappeler. En fait, elle est récompensée du « service » qu’elle a rendu au journalisme britannique (re : Vogue US bon sang) et à la mode du pays. Quand c’est pas Kate Moss…
On attend aussi dans quelques années son sacre au titre de Marâtre Déesse incontestable de la Mode, Garce Créatrice universelle de la Classe, et Bitch Ambassadrice de bonne volonté à la consommation de fourrure.
Vive Anna !
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