Voici la première bande-annonce de l’adaptation du roman de Leon Tolstoï, Anna Karenina (Anna Karénine chez nous), réalisée par Joe Wright (Reviens-moi, Orgueil et Préjugés). On y retrouve (forcément) Keira Knightley qui a probablement signé un contrat avec son sang la liant à la fois à Joe Wright, aux adaptations de classiques littéraires et aux films d’époque. Mais on y verra également Jude Law, Aaron Johnson, Domhnall Gleeson ou encore Matthew Macfadyen.
Anna Karenina
nous plonge dans les méandres de la haute société russe de la fin du XIXème, au cœur d’une histoire de triangle amoureux – forcément, y a Keira Knightley j’vous rappelle – qui part en vrillasse totale. Anna est mariée à Alexis mais elle fricote avec le Comte Vronsky – mais comme niveau discrétion, c’est pas trop des flèches, tout le monde se retrouve bientôt au courant de la petite histoire et Anna se voit forcée de faire un choix. Et après, c’est le bordel, bien évidemment.
Le film sortira le 3 octobre 2012 en France, pile le temps qu’il vous faut pour relire Anna Karénine au bord de la piscine parce que ça fait du bien par où ça passe. D’ailleurs, pour celles qui ont un Kindle, vous pouvez récupérer onze romans de Tolstoï pour moins de 2€ et les emporter partout !
Et si le film que vous alliez voir ce soir était une bouse ? Chaque semaine, Kalindi Ramphul vous offre son avis sur LE film à voir (ou pas) dans l’émission Le seul avis qui compte.
Les Commentaires
J'aurais pas dit mieux. J'aime pas du tout cette actrice qui à qui ses rôles sentimentaux ne vont pas du tout. Elle a un côté eau de rose qui me déplaît. Et je trouve que d'une manière générale les américains ont le chic pour bousiller le patrimoine culturel des autres. La culture russe est extraordianaire, Anna Karenine un des livres que j'ai le plus aimé lire c'est pour ça que j'irai pas contempler une adaptation médiocre.
Et je suis tout à fait d'accord avec ce qui se dit plus haut, j'aimerais aussi voir un film innovant avec un scénariste suffisamment doué pour pondre un scénario tout seul (par exemple mon idole dans le genre Andrew Niccol) et pas se contenter d'adapter un bouquin. Certes ce n'est pas chose aisée non plus, mais trop d'adaptation tue l'adaptation.