Écoute, loin de moi l’idée de vilipender la musique pop et ses paroles vide de profondeur, si je puis dire. Vraiment : j’ai pas envie, quand j’écoute des chansons, de réfléchir sur le sens de la vie et qui vient en premier de la poule ou de l’oeuf. Donc rien ne me choque dans les paroles d’Anaconda
de Nicki Minaj, qui sont pour le moins détendues :
« Un copain de baise qui s’appelait Troy, qui vivait à Detroit C’était un gros dealer, il se faisait plein de thunes Il a eu des problèmes avec la loi, mais il vit dans un palace Il m’achetait du Alexander McQueen, il me gardait stylée. »
MartiansBrain a justement choisi, pour bien jouer avec les contrastes dans les paroles d’Anaconda, très ancrées dans une sorte de vie (une vie où on a un toyboy dealer et millionnaire), de les clamer comme si c’était un poème. Ce n’est pas un concept nouveau, mais faut bien avouer que c’est toujours efficace :
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