Pauline, la Louise de ma Thelma, mon héroïne du quotidien

Pauline a 26 ans.

Elle est comédienne, autrice, metteure en scène, caméléon, mannequin, poétesse, serveuse et barmaid à ses heures perdues.

Pauline, la force faite femme

Elle aime danser, chanter. Elle s’en fout de le faire bien ou mal.

Elle aime la bonne musique, parfois la mauvaise aussi, mais que celle qui fait kiffer.

Elle noie ses chagrins à grands coups d’alcool.

Elle fait de la boxe et mène sa vie comme un sport de combat.

Pauline, une femme libre

Elle écrit des poèmes et elle part au bout du monde.
 Pauline est une des femmes les plus libres que je connaisse.

Qui emmerde puissamment les autres et trace sa route sans (trop) regarder à côté.

Pauline a les épaules… Pour elle.

Pour moi parfois.

Sans pitié, mais avec beaucoup d’amour.

Pauline, une femme courageuse

Pauline c’est celle qui a peur, mais qui y va quand même, jusqu’à ne plus avoir peur du tout.

Qui n’a pas peur de pleurer, pas peur de se prendre des murs, et qui

ne s’excuse pas de qui elle est.

Pauline c’est ma coloc, mon soutien, mon associée artistique, ma pote et ma sœur.

Imparfaite et fière de l’être.

Droite dans ses bottes et en doute permanent en même temps.

Et même si parfois ça casse elle tient bon et elle résiste, campée sur ses deux pieds bien solides.

Rien ne me rassure comme Pauline qui passe sa tête par la porte de ma chambre.

Pauline, mon inspiration au quotidien

Je n’ai jamais peur d’être malheureuse parce que je sais que même au fond du trou, elle arriverait en trombe, me mettrait deux claques, m’interdirait de m’excuser et me refoutrait dans la vie d’un grand coup de pied au cul.

On se porte comme les deux femmes qu’on est dans ce monde de brutes, elle m’inspire un grand je-m’en-foutisme qui sonne comme un grand vent de liberté.

Elle m’apprend aussi le calme, même au cœur de la tempête, et la folie totale les soirs de grande joie ou de grands désespoirs.

Pauline c’est ma Louise, et je suis sa Thelma.

Je ne lui dis pas, ça lui ferait trop d’orgueil de le savoir…

Mais chaque post-it que je lui laisse sur la table est en somme un condensé de tout cet amour.

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