Et parce que c’était moi parce que c’était lui
Bien sûr il y a nos défaites
Et puis la mort qui est tout au bout
Le corps incline déjà la tête
Étonné d’être encore debout
Bien sûr le temps qui va trop vite
Ces métros remplis de noyés
La vérité qui nous évite, mais
Mais voir un ami pleurer
Et tous ces hommes qui sont nos frères
Tellement qu’on n’est plus étonné
Que par amour ils nous lacèrent, mais
Mais voir un ami pleurer.
(BREL ft MONTAIGNE en mode dirty)
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