Dans sa dernière chronique sur France Inter, Alison Wheeler a livré sa Drôle d’humeur, en musique !
Ce n’est pas une première pour la chroniqueuse, serial chanteuse de son état puisqu’elle avait déjà ambiancé ses collègues (et moi aussi par la même occasion) avec sa chanson hilarante sur « ces fraudeurs qui n’ont pas fait exprès » ou poussé une complainte sur les galères du lundi matin.
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Mercredi 15 février, elle a donc parlé fin du monde, oui oui ! Avec comme prétexte la chute d’une comète autour du 16 février.
Ah, les années 2000, cette époque bénie. En l’occurrence, tu as sûrement reconnu le tube de Corneille, Parce qu’on vient de loin (le lien t’emmène effectivement vers la chanson originale, vas-y clique, je juge pas).
Alison Wheeler vs The World
Bon, comme d’habitude, Alison Wheeler n’y va pas avec le dos de la cuillère en matière de critique : politique, environnement, sexisme… Tout le monde en prend pour son grade.
Depuis les soupçons qui pèsent sur le candidat à l’élection présidentielle François Fillon, dont les derniers éléments sont expliqués dans cet article du Monde, en passant par les violences policières qui font sans doute référence à l’affaire Théo, jusqu’aux problèmes de pollution des océans :
« Quand on mange du poisson, on sait jamais si c’est chelou ou si c’est magique, dans tes selles tu trouves du plastique. »
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La chroniqueuse en profite aussi pour faire un petit tacle bien senti au sexisme en mentionnant les inégalités de salaire entre les femmes et les hommes.
« Ton boss est lourd, tu voudrais gagner un vrai salaire, être payée comme tes pairs, tu veux une augmentation pas une augmentation mammaire. »
Tu peux retrouver la Drôle d’humeur d’Alison Wheeler sur France Inter chaque semaine dans la Bande originale, à 11h !
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