Le fantasme d’Emilie. : Julianne Moore
Autant je fantasme généralement sur des nanas brunes, des filles au caractère fort et volcanique, vraiment à l’opposé de ce que je peux dégager moi en fait – stéréotype de la nénette au teint pâle et aux cheveux clairs qui échoit vite fait de la case « fragile petite créature » ou de celle de « reine des glaces », tout dépend.
Autant je peux fondre littéralement pour mes congénères. Et mon fantasme ultime dans la catégorie poil de carotte étant Julianne Moore.
Parce que Julianne est sans âge. Elle fait partie de ces gens, à l’instar de Keanu Reeves, qui ne vieillissent jamais (ou très peu). Elle a beau en avoir cinquante, je lui donne mes vingt-et-quelques printemps sans discuter.
Parce que Julianne est divine. Tant dans le choix de ses rôles, éclectiques (The Big Lebowski, A Single Man, Les vies privées de Pippa Lee
…), que dans ce qu’elle entreprend hors écran : j’ai nommé, en qualité esthétique, la campagne Bulgari meilleure publicité ever.
Et parce que forcément, Julianne est rousse…
Le fantasme de Laystary : Adam Brody
Autant je fantasme généralement sur les mecs aux visages durs, imparfaits, le genre de petites gueules à avoir fait de la prison, ceux qui ont l’air d’en avoir vu des vertes et des pas mûres dans la vie. Les mecs aux visages insolents, le tout posés sur des épaules bien larges, c’est habituellement ma came.
Autant je suis en couple depuis plusieurs années avec Adam Brody (mais il n’est pas au courant, le coup classique…) et sa gueule de poupin. Sa petite gueule de bébé un peu pâlotte et souvent imberbe* me fait littéralement fondre. Comme si j’étais une boule de glace fruit de la passion posée sur le capot d’une benz noire brûlant sous le soleil de Newport Beach un 15 août. Oh oui Adam, je fonds, et ça dégouline de partout autour du cornet, MANGE MOI.
*quand il a une barbe style « de 2 jours », t’as l’impression qu’il s’agit en réalité d’un travail acharné de plusieurs mois de pousse.
Adam Brody a les traits du visage relativement classiques. Et pourtant. Le tout agrégé offre un ensemble tellement harmonieux qu’il en devient déstabilisant. Adam Brody ressemble au meilleur copain dont tu es amoureuse à l’âge de 15 ans, sans trop oser te l’avouer. Un physique de bon pote, un sourire enjoué, des yeux qui pétillent, et un beau soir en revenant du gala et que tu as abusé du punch, tu te dis « Merde Adam, fais pas le con, embrasse moi ». Et tout ça se termine sur le capot de la benz noire susnommée.
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