L’affaire avait éclaté pendant la Coupe d’Asie, en 2023. Le footballeur japonais Junya Ito, qui évolue au sein du Stade de Reims, était alors accusé par deux femmes d’agression sexuelle, pour des faits qui se seraient déroulés dans un hôtel d’Osaka en juin. Suite à l’ouverture d’une enquête par la police japonaise le 1er février, l’avocat du joueur a fait savoir lundi 19 février que son client avait porté plainte contre ses victimes présumées à qui il réclame 200 millions de yens, soit 1,2 million d’euros, de dommages et intérêts.
« Laver son nom le plus vite possible »
« Il est extrêmement important de laver son nom le plus vite possible, la carrière d’un joueur étant courte » a affirmé son avocat dans la presse, dénonçant des accusations mensongères aux répercussions néfastes pour l’image de son client.
Comme le retrace Le Parisien, « Les faits qui sont reprochés au footballeur se seraient déroulés dans un hôtel d’Osaka (ouest du Japon) en juin 2023 après un match entre le Japon et le Pérou, ont rapporté des médias nippons, qui précisent que son préparateur physique est aussi accusé ». Le joueur avait alors regagné la France précipitamment, « la fédération japonaise de football ayant jugé son départ nécessaire pour permettre à l’équipe de « se concentrer » sur la suite de la compétition ».
Au moment des faits, le club de Reims avait quant à lui apporté son soutien indéfectible au joueur, « dans l’attente d’éléments concrets qui permettront de faire la lumière sur les faits présumés ».
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