En partenariat avec ICART (notre Manifeste)
Si vous avez prévu une carrière dans la culture, ne perdez pas espoir : ce contexte sanitaire n’est qu’une passade. Et quand on parle culture, c’est culture au sens large : travailler dans les domaines artistiques ne se limite heureusement pas seulement à être artiste soi-même. La preuve avec les formations de l’ICART, l’école du management de la culture et du marché de l’art.
La France, l’une des premières destinations touristiques mondiales depuis des décennies, attire encore et toujours en 2021 ! Les arguments sont légions pour mettre en avant cette destination, et l’un des plus prégnants reste son attrait culturel. Selon le ministère de la Culture et le CNC, l’Hexagone ne compte pas moins de 1200 musées, 2045 salles de cinéma actives, et plusieurs milliers de manifestations culturelles organisées chaque année sur son territoire. En résumé, s’il y a un endroit où se former dans les domaines artistiques, c’est bien chez nous !
Donc on relève la tête et on continue à viser les étoiles (ou les paillettes) ! Le temps que tout ça se tasse, pourquoi ne pas choisir de se former à un parcours artistique ? Il n’y a que vous qui pouvez choisir ce qu’il vous faut, même si vous êtes en crise existentielle, suivez votre instinct. Mais que faire dans cet océan de possibilités ?
Justement, l’ICART propose des formations en trois et cinq ans : un Bachelor avec trois années généralistes ainsi que des MBA spécialisés accessibles dès la quatrième et cinquième année et des masterclass qui éveilleront sûrement votre intérêt.
Évidemment, on vous voit venir, cela fait maintenant une bonne année que bon nombre d’institutions culturelles françaises sont fermées, et rien ne va plus pour le moral des Français… Mais quoi qu’on en dise, la culture reste essentielle. Et comme on l’évoquait plus haut, ce n’est qu’une passade ! Si vous hésitez encore, Nicolas Laugero Lasserre, le directeur d’ICART, aura certainement les mots qu’il faut pour vous rassurer :
« L’art et la culture donnent du sens à notre existence. Le secteur va redémarrer car tout le monde est en manque de culture ! De nombreuses structures, institutions et initiatives locales vont poursuivre leur mission, et le marché est de plus en plus international grâce aux perspectives qu’ouvrent le numérique.
Nos étudiantes et étudiants sont actuellement dans une période de transition, mais ils sont très bien préparés pour penser et mettre en œuvre ces grandes mutations. »
Mais que peut-on espérer comme débouchés après ce type d’école ? Voici justement cinq métiers méconnus mais essentiels aux industries culturelles.
Agent artistique/agent de star
Vous avez certainement binge-watché la série Dix pour cent et vous vous êtes dit : « Mais pourquoi pas moi ? ». En effet, vous avez parfaitement raison, ça pourrait être vous !
Sachez que l’agent artistique ne représente pas forcément des stars de cinéma, il peut se spécialiser dans le domaine qu’il affectionne : danse, arts plastiques, musiques… Il représente généralement plusieurs artistes à la fois, et est toujours à l’affût de nouveaux talents. L’agent artistique gère la partie administrative et juridique des contrats ainsi que la communication autour de l’artiste. Mais il est aussi très à l’écoute de ses protégés et veille à leurs intérêts. C’est véritablement un métier passion !
Programmatrice de spectacle
Le programmateur de spectacle possède une vision globale des projets artistiques. En véritable chef d’orchestre, il conçoit un projet artistique et culturel global et est responsable de la programmation et des actions de médiation culturelle autour des événements…
Pour s’assurer de dénicher les bons intervenants et profils, il possède un très joli carnet d’adresses rempli de professionnels de la production et d’artistes. Le programmateur de spectacle reçoit également beaucoup de propositions et doit savoir faire le tri entre ce qui est réalisable ou pas. Évidemment, pour rester à la page, il fait la veille de ce qui s’organise autour de lui. Une vie haute en couleurs, donc.
Organisatrice de ventes aux enchères
Plutôt méconnu, et plus accessible que commissaire/priseur (bac+5 en ingénierie culturelle et management), l’organisateur de ventes aux enchères travaille main dans la main avec le commissaire. Il s’assure que la vente se passe bien, en amont et en aval de celle-ci. En amoureux des objets d’art, un organisateur peut se spécialiser dans une époque historique particulière ou sur des objets précis.
Chargée de médiation digitale
Il participe au développement de la stratégie numérique d’une structure. Cela suppose une certaine appétence pour le digital. Car le chargé de médiation digitale ne coordonne pas seulement les actions de médiation, il peut être amené à s’occuper de la conception des outils qui serviront au mieux cette médiation. Cela peut se traduire par un site Internet, un atelier ou une visite. Une chose est sûre, l’ouverture d’esprit et l’adaptation rythment ses journées.
Tourneur
Aussi nommé diffuseur, un tourneur planifie et écoule les tournées d’un groupe de musique, d’un artiste ou d’une troupe de théâtre. Par la suite, le tourneur s’assure des bénéfices des spectacles, que ce soit dans le monde entier ou en France.
Pourquoi choisir une école privée comme ICART ?
Vous êtes intriguée ? Ça tombe bien, l’ICART organise des portes ouvertes virtuelles ce samedi 17 avril à 11 heures. Pour y accéder, c’est très simple, il suffit de vous inscrire. Durant une heure, le personnel de l’école vous présentera l’école et ses campus de Paris, Bordeaux, Lille et Lyon. Ensuite, vous aurez une vision globale des débouchés en termes de secteurs et de métiers.
Par la suite, l’organisation des cours et des spécialisations sera abordée, ainsi que la mise en place des stages et autres partenariats. Pour finir, la dimension internationale de l’école sera mise en avant, avec son réseau des Alumnis ainsi que son campus à New York. Bref, un programme millimétré et aux petits oignons vous attend !
Mais une question peut se poser : pourquoi se diriger vers une école privée plutôt que vers une université ? Nicolas Laugero Lasserre nous répond :
« L’ICART est une formation qui allie des enseignements pointus en gestion et management comme peut le proposer une école de commerce, et des enseignements artistiques et culturels spécialisés dans les secteurs de l’art et du patrimoine, de la musique, du cinéma et du spectacle vivant.
Nous cherchons à émanciper nos étudiants, à les accompagner, les guider vers la voie de l’autonomie… La pédagogie active de projet de l’ICART fait la part belle au travail en équipe, au sens du collectif, l’agilité, l’autonomie, des aptitudes majeures dans le monde du travail aujourd’hui. »
Certaines de ces professions ont peut-être éveillé votre curiosité. Si c’est le cas, nous vous conseillons vivement de vous inscrire aux portes ouvertes virtuelles du 17 avril à 11 heures. Un concours d’entrée a lieu tous les quinze jours en virtuel, donc pas d’inquiétude si vous pensez l’avoir loupé. Tout est fait pour que vous abordiez vos études de manière sereine et que vous soyez accompagnée à l’ICART.
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