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Bien-être

4 mythes sur la beauté clean qu’il est temps de débunker 

Ces dernières années, la beauté clean a fait une véritable percée dans notre quotidien. Plus concentrée sur le contenu des formules et sur l’impact de ces dernières sur la planète, elle a marqué un vrai coup dans le renouvellement de la cosméto. Malgré tout, certains mythes ont encore la vie dure. Voici de quoi les mettre au tapis. 

La clean Beauty s’inscrit dans une vague de renouveau des code établis jusque-là par des marques dont le marketing importait plus que l’efficacité des produits. Le problème, c’est que lorsqu’il s’agit de beauté propre, on entend tout et son contraire, ce qui ne nous permet pas de nous faire une idée concrète sur le sujet. Pour vous permettre d’y voir plus clair, voici de quoi vous faire une bonne idée de ce qu’est, ou ce que n’est pas, la beauté clean. 

Qu’est-ce que la clean beauty ? 

Si le concept de clean beauty est de plus en plus populaire en ce moment, c’est parce qu’il repose sur une production responsable des cosmétiques tout en portant une attention toute particulière à la qualité de la formulation. Ingrédients d’origine naturelle, actifs issus de la biotechnologie, absence d’éléments controversés comme les sulfates ou (certains) parabènes… Les marques font de leur mieux pour élaborer des formules pointues, efficaces et (surtout) sans danger pour la santé humaine et animale…  

Mythe n°1 : les cosmétiques clean sont plus chers 

La cosmétique clean n’a pas toujours été la norme, ce qui la rendait particulièrement chère et difficilement accessible pour tout un chacun. Mais depuis quelques années, de nombreuses marques de beauté se sont mises (pas toujours avec les meilleures intentions), à formuler des produits dont la composition est relativement propre.

L’inconvénient ? Certains labels ne sont pas complètement honnête dans leur process de transformation après avoir passé des années à vendre des cosmétiques à la fois nocifs pour la planète et l’organisme. Mais cette popularité soudaine a tout de même un avantage : faire baisser les prix des produits de beauté dont la formule est plus qualitative (et souvent moins nocive) qu’avant. 

Aujourd’hui, on peut facilement mettre la main sur un sérum aux actifs pointus ou une lotion exfoliante pour moins de 30€, ce qui n’était pas si simple il y a encore 10 ans. 

Mythe n°2 : les cosmétiques clean sont dénués d’ingrédients agressifs pour la peau 

De nombreux ingrédients peuvent être agressifs pour la peau. Mais ça ne veut pas dire qu’ils sont tous nocifs pour autant. Les marques de cosmétiques clean prennent souvent le parti de bannir les ingrédients suspects (irritants, cancérigènes, perturbateurs endocriniens ou non-biodégradables) pour se concentrer sur ceux dont l’efficacité ne repose pas sur des matières premières douteuses et agressives pour l’épiderme. En revanche, certains produits, notamment purifiants, rééquilibrant ou resurfaçant, contiennent des acides (A.H.A, B.H.A ou P.H.A) ou encore du rétinol qui peuvent, selon votre type de peau, la mettre à mal. Voilà pourquoi il faut toujours considérer les recommandations d’experts afin de ne pas les surdoser et de les utiliser seulement avec la certitude que l’épiderme peut les supporter. 

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@ashleypiszek

Mythe n°3 : la beauté clean est bio et vegan 

Si la cosmétique bio et vegan n’est pas forcément propre, c’est également le cas de la beauté clean, qui ne repose pas toujours sur l’utilisation de matières premières bio. Lorsque c’est le cas, la marque le notifie, mais pour être considérée comme clean, la notion de bio n’est pas obligatoire. En réalité, il faut savoir que les produits de beauté biologiques reposent sur des mesures encadrées par le gouvernement, notamment quand il est question d’informer le consommateur sur le type de produit qu’il a entre les mains. Le but ? Qu’un cosmétique dont la formulation ne contient pas 100% d’ingrédients bio soit rapidement identifié. Voici ce que l’on peut lire sur le site economie.gouv.fr

« Sur les produits cosmétiques, si 100 % des ingrédients ou matières premières sont biologiques, l’allégation « biologique » peut figurer pour désigner le produit dans son ensemble. Si au contraire le taux global dans le produit de ces ingrédients ou matières premières biologiques est inférieur à 100 %, il doit être indiqué. À défaut, l’allégation « biologique » ne doit figurer qu’à côté du ou des ingrédients concernés, afin que le consommateur ne puisse pas penser que tout le produit est « bio », alors que ce n’est pas le cas. »

Mythe n°4 : la beauté clean est inefficace

La beauté clean regorge de marques qui utilisent à la fois le meilleur de la nature et de la biotechnologie pour créer les produits les plus pointus de la cosméto. Une démarche qui peut être assez longue, tant le retrait de certaines matières premières problématiques peut engendrer d’interminables processus de formulation. Et si les « ingrédients nocifs » ne sont plus de la partie, ceux qui fonctionnent vraiment, eux, sont maintenus et sont même sublimés par d’autres actifs de qualité qui peuvent être ajoutés au gré des labels. Des ingrédients de pointe, pas toujours très connus du grand public, qui font pourtant toute la différence en matière de résultats.

Bref, la clean beauty est tout, sauf inefficace. 


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