Et cette semaine est placée sous la bonne étoile de l’éclectisme.
Si comme moi tu as envie de TOUT voir mais que tu ne disposes que de 168 heures par semaine (au début j’avais écrit 108), voilà une petite synthèse de films sortis mercredi.
Kingsman : le Cercle d’or, l’espionnage chic et explosif
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Je suis d’habitude peu cliente des films d’action, mais celui-ci m’a conquise tant il se distinguait du marasme informe des blockbusters plein de lense flares dont on nous abreuve toute l’année. Prends ta retraite Michael Bay, et laisse-nous en paix !
Et le deuxième Kingsman n’a pas à rougir.
Les agents hyper secrets des renseignements britanniques, toujours affublés de leur costume 3 pièces, s’en vont défoncer des gueules et découvrir une organisation nommée Statesman, fondée il y a très longtemps aux États-Unis.
Réalisé par Matthew Vaughn et porté par Taron Egerton, Colin Firth, et Mark Strong entre autres talents, Kingsman : Le Cercle d’Or tient toutes ses promesses… dont celle de nous divertir avec brio !
L’Atelier, la jeunesse meurtrie
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Sur l’affiche de L’Atelier, on peut lire en gros une quote de Télérama :
« Un grand film sur la jeunesse ».
Je n’aurais pas mieux résumé ! L’Atelier est un grand film, rien n’est plus sûr. Marina Foïs y campe l’un des rôles les plus touchants de sa carrière (avec Polisse de Maïwenn peut-être).
Laurent Cantet, déjà créateur d’Entre les Murs, un film coup de poing qui est reparti de Cannes en 2008 avec la Palme d’Or, s’intéresse de nouveau au rapport professeur/élèves.
À La Ciotat, par un été chaud, Olivia donne des cours d’écriture à des jeunes en insertion, dont Antoine. Leur défi ? Écrire un roman noir.
Cet atelier va faire resurgir le passé ouvrier de la ville. Un sujet qui n’intéresse pas du tout Antoine ; très vite, il s’oppose au groupe avec violence. Une violence qui effraye Olivia autant qu’elle la séduit…
La Passion Van Gogh, la peinture didactique
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La Passion Van Gogh est définitivement mon coup de coeur de la semaine.
Ce film d’animation a nécessité un travail de longue haleine. Sept ans, c’est ce qu’il aura fallu à la peintre Dorota Kobiela et au réalisateur Hugh Welchman pour créer cette merveille d’innovation.
La Passion Van Gogh, c’est 1h35 d’un divertissement ambitieux à couper le souffle. Ce film est entièrement peint à la main. ENTIÈREMENT bon sang !
D’après le Huffington Post, quelques 125 artistes du monde entier ont donné de leur personne et de leur art pour créer les 65 000 plans du long-métrage.
La Passion Van Gogh esquisse le portrait d’un artiste immense mais peu sociable, dont la mort demeure, encore aujourd’hui, un mystère. S’est-il suicidé, a t-il été assassiné ?
À travers les yeux et la voix d’Armand Roulin, interprété par Pierre Niney, le film lève le voile sur l’existence et l’art d’un homme pas comme les autres.
Numéro Une, responsabilité et pouvoir
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Comme je suis sympa, vous avez droit aujourd’hui non à trois mais à quatre films !
Numéro Une est l’histoire d’Emmanuelle Blachey, une ingénieure membre du comité de direction d’une grande entreprise française.
Un réseau de femmes lui propose son aide pour accéder à la direction générale d’une entreprise du CAC40… Elle deviendrait alors la première femme à accéder à ce niveau de responsabilité en France.
Emmanuelle et les femmes du réseau féminin luttent pour se faire respecter dans un monde où tous les codes sont pensés par et pour les hommes. Pas besoin de caricaturer cet univers, tant il est déjà anachronique aux yeux de celles qui en ont été témoin.
Je vous conseille ardemment ce film signé Tonie Marshall, dont les problématiques sont terriblement actuelles.
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