Contraction de Bombay et d’Hollywood, Bollywood émerveille l’Occident. Kalindi te conseille 3 films pour pénétrer tout doucement cette industrie infinie, entre triangles amoureux, chorégraphies endiablées et mariages arrangés.
Si tu as déjà vu mon visage, ça n’a pas dû t’échapper : je suis métissée.
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Ma mère est française, mon père mauricien. Ses parents sont nés en Inde, dans le Rajasthan.
Il y a quelques années, armée d’un adorable blond et d’un sac à dos à paillettes, je décidais d’arpenter le pays dont j’étais finalement originaire.
J’arrivais à Bombay sous une chaleur moite et agressive, que j’ai pourtant accueillie avec bonheur.
Très vite, j’allais au cinéma, découvrir les nouveautés made in Bollywood !
Bollywood et ses codes en mouvance
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Et là, énorme déception : beaucoup de salles diffusaient des fictions datant de l’année passée. Dommage.
Pourtant, et d’après le site de la chaine Arte, « Bollywood est la plus grosse machine du cinéma au monde ».
C’est une industrie colossale, qui s’exporte très bien à l’étranger.
Finalement, j’ai trouvé les bonnes salles, et découvert de belles nouveautés.
Surprise : ce cinéma avait bien changé, et tentait d’intégrer à son ADN les codes esthétiques et culturels de l’Occident.
J’étais interloquée. On était bien loin des long-métrages que je regardais adolescente. Tout avait évolué, et c’était bien normal.
Je découvrais tous ces nouveaux codes avec enthousiasme.
Aujourd’hui, j’ai envie de te faire découvrir ce cinéma, que j’aime avec tendresse pour avoir occupé toutes mes vacances passées à l’île Maurice, où soyons honnêtes, il n’y a rien à faire.
Voilà quelques films par lesquels commencer, si tu es néophyte.
Devdas, le mélodrame culte
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Tu as peut-être entendu parler de Shah Rukh Khan, un acteur aussi fantasmé en Inde qu’en Europe.
Les mamans du monde entier flaquent régulièrement lorsqu’il apparaît torse nu à l’écran !
Dans Devdas, sorti en 2002, il donne la réplique à Aishwarya Rai, une figure emblématique du cinéma bollywoodien.
Actrice mais aussi mannequin, elle a longtemps été qualifiée par les médias de « plus belle femme du monde » — un titre que je trouve quelque peu ridicule, si tu veux tout savoir.
Ces deux monstres sacrés de l’industrie indienne, se sont réunis à l’occasion du tournage de Devdas, qui est très vite devenu culte.
De quoi ça parle ?
Devdas et Parvati sont amis depuis l’enfance. Transie d’amour pour lui, Parvati a attendu celui qu’elle pensait lui être destiné, tandis qu’il faisait des études en Angleterre.
Faussement désinvolte, Dev est en fait aussi fou amoureux de la belle Parvati.
Mais si tout leur semblait simple quand ils étaient enfants, la vie d’adulte est semée d’embûches. Le plus grand obstacle à leur union ? Parvati est issue d’un milieu beaucoup plus modeste que Dev…
On est ici dans un synopsis typique du cinéma bollywoodien.
Des enjeux shakespeariens sur fond de comédie musicale, c’est LA BASE.
Veer-Zaara, un énorme carton
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Salué au festival du film de Marrakech ainsi qu’à la Berlinale, Veer-Zaara est le plus gros succès commercial (en provenance de l’Inde) de 2005.
Il suit la lutte d’une jeune avocate pakistanaise, bien décidée à découvrir ce qui est arrivé à Veee, un Indien emprisonné depuis 22 ans au Pakistan pour des raisons douteuses.
Au fil des conversations, Veer se livre à l’avocate.
La cause de son emprisonnement ? Une histoire d’amour terrible. Celui qui lie Veer à Zaara, jeune femme promise à un autre…
Réalisé par Yash Chopra, cette fiction indienne est une vraie tragédie. Elle m’a brisé le cœur, mais je la revois régulièrement, tant j’aime les histoires d’amour contrarié.
Et qui joue dedans ? Shah Rukh Khan bien sûr. L’homme qui était dans TOUS les films.
Hum Aapke Hain Koun, la tragédie vintage
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Sorti en 2004, HAHK est le film LE PLUS DIFFICILE DU MONDE À PITCHER.
Je vais essayer mais je ne garantis rien.
Rajesh et Pooja deviennent mari et femme, lors d’un mariage arrangé censé rapproché leurs deux familles. Prem et Nisha, leur frère et soeur respectif, tombent immédiatement amoureux.
Malheureusement Pooja meurt et Nisha se voit contrainte d’épouser Rajesh (son beau-frère) pour qu’elle élève son enfant (le fils de Pooja) comme si c’était son fils alors que c’est son neveu.
VOILÀ. Et ça n’est qu’une toute petite partie de l’intrigue.
HAHK m’avait beaucoup attristée, lorsque je l’ai vu pour la première fois. Mais bon aujourd’hui, il a tant vieilli que son habillage « méga kitsch » m’empêche de le prendre au sérieux.
En plus, les danses et les chants viennent égayer la tragédie.
On oscille alors entre comédie et drame. C’est ce qui fait l’un des charmes du cinéma bollywoodien.
Voilà mon esturgeon, je m’arrête ici. J’espère que cette petite introduction à ce cinéma si particulier te donnera envie de t’y plonger plus précisément.
Tu verras, c’est passionnant.
Si tu le souhaites, je pourrai écrire un article plus complet, sorte de petit précis sur l’origine de ce cinéma, et l’explication de ses symboliques.
J’ai pas mal fouillé, et j’ai appris un milliard de choses enthousiasmantes !
@Elodieisaway je conseille le même genre de film Je n'ai toujours pas vu Dangal par contre !
Yeh Jawaani Hi Deewani je n'ai pas adoré par contre (malgré tout mon amour pour Ranbir et Deepika)
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Yeh Jawaani Hi Deewani je n'ai pas adoré par contre (malgré tout mon amour pour Ranbir et Deepika)