Publié le 12 janvier 2015 (mais toujours d’actualité…)
Il y a des moments dans la vie où l’on est prêt·e, assez mûr·e pour évoluer dans sa vision du monde et ses engagements.
J’ai mis, par exemple, plusieurs années à être suffisamment instruite sur le féminisme pour pouvoir me déclarer moi-même féministe : je me suis éduquée progressivement, jusqu’à arriver au moment parfait pour que la transition soit achevée.
J’ai évolué et je me suis éveillée à l’écologie
Quand je regarde la personne que j’étais il y a cinq, voire trois ans, je me rends compte que j’avais à peine enclenché ce processus… mais aujourd’hui, je ne m’imagine pas vivre autrement.
De la même façon, à force de découvertes et de lectures, j’ai commencé àm’éveiller à l’écologie au sens large et sur des sujets spécifiques : je suis loin de m’y connaître sur tout, mais je sens que cette année est celle de l’arrivée à maturité de mes réflexions sur mon engagement pour la planète.
Je suis au point où j’ai suffisamment avancé pour prévoir une liste de résolutions écolos que je souhaite mettre en application cette année, grâce à ce que j’ai pu apprendre sur le sujet. C’est unemanière tranquille de donner plus de place à l’écologie dans ma vie, le tout sans trop de pression mais avec détermination.
J’ai décidé de lister ce qui me ferait du bien à moi, et à la planète en cette année si particulière pour nous autres Français·es… et je pense que ça pourrait intéresser certain·es d’entre vous !
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La France au cœur de l’écologie, en 2015 et après !
En effet, j’aurai l’occasion de vous en reparler plus longuement, mais la France est le pays organisateur de la grande conférence pour l’environnement, la COP21, qui se tiendra en décembre 2015 à Paris.
C’est chez nous, ça va être énorme, et c’est l’occasion pour nous tou·tes de nous impliquer pour notre avenir et celui de nos éventuels hypothétiques (ou déjà nés) enfants.
Depuis la publication de cet article, non seulement la COP21 a eu lieu, mais de nombreuses autres après elle.
Les Français·es ont même attaqué l’État en justice pour sauver la planète !
Pour découvrir tous nos contenus sur l’actualité écologique dans le monde, rendez-vous dans notre rubrique dédiée à l’écologie !
Ces résolutions couvrent pas mal de champs, mais il y en a évidemment qui manquent : je vous donnerai des pistes pour aller plus loin tout au long de cet article, et n’hésitez pas à nous contacter si vous entendez parler ou êtes à l’origine d’une initiative écologique cool dont on pourrait parler sur madmoiZelle !
Sans plus attendre, ma liste des 10 résolutions écologiques de 2015 !
Résolution écolo n°1, apprendre à lire les étiquettes
Les étiquettes sont un langage codé qui fait franchement mal à la tête du consommateur souhaitant s’intéresser à ce qu’il va ingurgiter/se tartiner sur le corps… On peut être chimiste aguerri·e et peiner à comprendre les composants exacts des produits que l’on consomme tous les jours.
Il est donc important d’apprendre à reconnaître les composants d’un produit et de savoir dans quelle mesure ils seraient nocifs pour la santé et l’environnement, ou sujets à controverse.
C’est une mesure générale, qui englobe les produits alimentaires comme les cosmétiques : connaître la composition d’un produit, c’est mieux choisir pour sa santé et l’environnement, ne pas s’empoisonner ni polluer la nature avec des produits qui ne sont pas biodégradables.
Globalement, plus la liste est courte et mieux c’est. Ensuite, il faut apprendre à repérer certains éléments qui sont vraiment à proscrire selon les choix de chacun·e : n’hésite pas à te faire un mémo, à noter dans ton téléphone ou un carnet le nom exact des composants chimiques que tu souhaites éviter.
Parfois, dans le doute, on achète un produit qu’on n’aurait pas pris si on l’avait regardé de plus près…
Surprise, des conservateurs !
Sinon, encore mieux, il existe des applications qui permettent de scanner les codes-barres de vos articles afin d’en découvrir les secrets et l’impact écologique. Le tout, c’est d’acquérir le réflexe de vérification et de se forger de nouvelles habitudes.
Pas besoin de se mettre à la confection de cosmétiques avec des formules complexes et le besoin d’acheter/stocker des produits (même si beaucoup aiment le faire : c’est super bon pour l’environnement, alors si ça te tente, fonce) : réfléchir sur le contenu de nos produits alimentaires et cosmétiques est un premier grand pas !
Passer à 70% de cosmétiques d’origine biologique, pour sauver la planète
Je mets 70%, parce que c’est difficile de faire un 100% du premier coup et avec un budget limité.
Cette résolution est déjà bien amorcée pour moi, mais pas encore totalement achevée et loin d’être maintenue sur la durée.
Passer aux cosmétiques biologiques, c’est donc bien savoir lire ses étiquettes et avoir le réflexe de le faire systématiquement (grosse lose quand je me suis aperçue que j’avais acheté une énorme bouteille de soin pour les cheveux bourrée de paraben et de silicones, par oubli), mais c’est aussi changer ses habitudes et ses produits fétiches pour faire de nouveaux tests.
Je trouve que ça vaut le coup : au cours de l’année précédente, j’ai déjà abandonné shampooing traditionnel, gel douche et crèmes pour le corps avec des parabens et autres conservateurs. Je me démaquille à l’huile d’amande douce pure et bio, je soigne mes cheveux à l’huile d’avocat et de noix de macadamia, me passe le corps au karité pur malaxé…
Les prochains gros changements concernent le maquillage qui reste pour ma part très majoritairement rempli de produits dérivés de la pétrochimie et de conservateurs assez concentrés et agressifs.
Pour changer ses cosmétiques, rien de tel que de chercher avis et conseils sur Internet. Des blogs spécialisés pulullent, et des youtubeuses beauté sauront te guider… tout comme madmoiZelle !
Il est parfois difficile de se procurer certaines choses dans un supermarché ou même dans un magasin bio (que celle n’a pas lutté pour trouver de l’huile de coco tous usages 100% bio se manifeste).
Le tout à des prix corrects et aussi efficaces que des produits plus classiques, c’est encore une autre affaire. Ce n’est pas impossible, il suffit d’être informé·e…
Certaines marques sont très bien question qualité/prix et se sont fait une belle renommée dans le monde des cosmétiques bio ! Internet est ton ami, car il te permet de comparer les prix, de faire des commandes groupées, de demander des échantillons, etc.
Ce n’est pas encore tout à fait au point car les e-shops ne sont pas forcément sur tous les créneaux et toutes les marques bio : il ne faut pas hésiter à faire des recherches pour trouver LE produit qui te convient, sur le magasin qui propose les meilleurs offres question qualité/choix/prix.
Ce qu’il est aussi intéressant de faire, c’est de changer un maximum de produits, mais de ne pas chercher à tout prix à tout changer : se frustrer est une manière très efficace d’abandonner de bonnes résolutions.
Donc si tu aimes les produits d’une certaine marque, fais-toi plaisir. Mais fais ce choix en ayant conscience de l’impact écologique et éthique de la production de ces produits, et de ses éventuels effets sur ta santé à long terme !
Une consommation réfléchie est une bonne approche pour ce genre de choses, et si on gagne petit à petit du terrain avec les produits bio, sans s’en apercevoir, le tout au tout fonctionne rarement. Vas-y progressivement mais de manière à ne pas revenir en arrière !
L’association Générations Cobayes est très au point, informe les consommateurs d’une manière à la fois rigoureuse et fun et participe au lobbying écologique à Bruxelles. Leur guide sur les perturbateurs endocriniens a été une révélation et un bel appui dans ma transition écolo.
Donc ma bonne résolution, c’est passer à plus de produits biologiques, de ne pas me laisser leurrer par l’appellation « 90% des ingrédients d’origine naturelle » (qui ne veut pas dire « biologique » !) et de bien connaître les bons labels, indicateurs de marques qui respectent une charte stricte.
Ma résolution pour l’environnement : mes produits ménagers seront bio
J’ai travaillé il y a quelques années dans un bar à jus de fruits. Des fruits et légumes aux produits d’entretien, rien n’était certifié bio. Mais le fait de parler de fruits et de santé suffisait à leurrer des consommateurs…
À l’époque, je devais nettoyer tout, tout le temps. J’avais les mains qui baignaient dans des produits d’entretien très agressifs, malgré les gants.
Au bout d’à peine trois semaines, la peau de mes mains s’est rigidifiée, puis s’est mise à peler. Ma manager, qui était là depuis un an, avait les mains complètement détruites, couvertes de plaques et pelées. J’ai gardé la peau très ridée depuis, ces produits ont vieilli prématurément mes mimines.
Depuis, je me suis promis de ne plus utiliser ce genre de produits, qui rentrent en contact avec des denrées alimentaires, et sont donc absorbés dans notre organisme. Tuer les bactéries, c’est bien. S’empoisonner, c’est nul.
Techniquement, il est possible nettoyer son chez-soi avec de l’eau chaude, du citron et du gros sel — et du vinaigre blanc quand c’est vraiment très crado.
Des recettes simples (rien de plus basique que faire chauffer de l’eau et presser des citrons ou les faire infuser directement !) à celle de la lessive faite maison, tout peut être réalisé à moindre frais et dans le respect de l’environnement comme de ta santé.
Cette machine à laver est visiblement en train de mettre en place un plan diabolique pour détruire la biodiversité.
Il suffit de remonter ses manches et de trouver les bons conseils pour faire un écogeste simplissime mais formidable !
À lire aussi : Mad Gyver — Je fais le ménage chez moi
Le blog ÉchosVerts vous propose des solutions ménage bio et plein d’articles documentés sur de nombreux sujets, ainsi que des bonnes résolutions !
Réduire mes déchets, emballages et autres produits à usage unique
Le jetable, c’est pratique, mais c’est autant de plastique et de composants rapidement inutilisables et donc produits pour un résultat franchement moindre.
Le paquet de rasoirs jetables coûte peu cher mais son usage est unique, et le prix écologique plus grand que si l’on achète un trois-lames.
Acheter des lingettes en paquet pour le nettoyage de la salle de bain, la cuisine ou les toilettes, c’est beaucoup de déchets et des lingettes qui ne se dégradent pas dans la nature.
Les paquets de gâteaux (avec conservateurs) avec emballage global et individuel pour conserver la fraîcheur, c’est autant de plastique en plus.
Certains dentifrices sont sur-emballés, avec une boîte en carton franchement inutile.
Les paquets de serviettes hygiéniques ou de tampons coûtent cher, sont en contact avec des muqueuses très sensibles qui absorbent des produits chimiques utilisés pour le blanchissement et le traitement de la fibre dont ils sont composés et produisent beaucoup de déchets non bio-dégradables.
Passer à la cup en silicone, on vous en a parlé. C’est vraiment un bon geste pour soi, pour son confort et pour l’environnement ainsi que sa bourse !
Voilà des exemples tout bêtes de choses que l’on peut acheter sans se rendre compte qu’elles sont mauvaises pour l’environnement… et je plaide coupable, comme beaucoup d’entre vous.
Certain·es font donc le pari de réduire leurs déchets et ordures ménagères, en préférant remplir des boîtes réutilisables, acheter en vrac, consommer en regardant aussi la manière d’emballer.
Car acheter bio, c’est bien mais si le packaging est mauvais pour l’environnement, tout bénéfice de la production biologique est perdu !
La question du mode de vie « zéro déchets » t’intéresse, te questionne t’attire ? Mais tu ne sais pas comment y parvenir, ou au moins t’en approcher ? madmoiZelle regorge de contenus, astuces et témoignages sur ce mode de consommation. Voici quelques suggestions d’articles qui pourraient t’intéresser :
- Le démaquillage zéro déchet en 2 solutions simples
- Les petits désagréments du zéro déchet (mais ça en vaut la peine)
- Ça ressemble à quoi un quotidien zéro déchet ?
- Comment Aline, 21 ans, a réussi à réduire 6 mois de déchets au contenu de ce petit sac
Il existe même un topic sur le forum pour échanger avec d’autres madmoiZelles sur les problématiques que tu pourrais rencontrer, ou demander des conseils.
La production de déchets par personne est un vrai problème : nous en générons beaucoup trop et cela doit évoluer. J’ai compté combien de poubelles je remplissais par mois et j’ai noté la réduction des déchets dans ma liste de bonnes résolutions, parce que le résultat était bien trop élevé.
Certaines personnes se transforment en rois et reines du zéro déchet.
C’est une philosophie de vie, on n’y arrive pas en un claquements de doigts et il faut le souhaiter de chaque fibre de son être… mais s’inspirer de ce concept pour réduire sa production de déchets, c’est une résolution faisable, un investissement sur la durée qui change vraiment quelque chose !
Mieux consommer ma nourriture afin de réduire mon impact environnemental
Deux choses importantes au sein de la même résolution : acheter mieux, c’est déjà une question de quantité. Produire moins de déchets, et gâcher moins a des répercussions sur plusieurs terrains.
La lutte contre le gaspillage, mon engagement pour la planète
Nous jetons près de 90 kilos de nourriture par habitant·e et par an. En moyenne, 21% des aliments que nous achetons finissent à la poubelle, soit parce qu’on a trop acheté, soit parce qu’ils sont périmés avant qu’on ne les consomme.
Sur-produire pour que tout soit jeté plus tard, c’est assez nul comme manière de vivre ! Nous jetons beaucoup de fruits, légumes, et autres denrées alimentaires car nous les avons laissés pourrir au fond de nos réfrigérateurs : par flemme, oubli, on a consommé de l’énergie pour rien, et gâché un produit qui a eu un coût de production (et dans la poche).
Mieux consommer équivaut à acheter de manière objective ce que l’on va manger, et à contrôler régulièrement son frigo et ses placards pour traquer les produits qui arriveraient à leur date de péremption et doivent être préparés en priorité.
À lire aussi : J’ai testé pour vous… le panier bio
Ensuite, mieux consommer la nourriture, c’est réfléchir à sa production : si elle est locale ou pas, ses conditions, les ressources engagées (eau, énergie) et l’apport nutritionnel.
Réduire ma consommation de viande pour améliorer le climat à mon échelle
L’une des résolutions les plus efficaces est de réduire voire d’arrêter de consommer de la viande : je ne conseille pas à tout le monde de devenir végétarien·ne, mais de réfléchir à la fréquence à laquelle on consomme de la viande, à nos besoins physiologiques et à se demander si le bénéfice de manger de la viande n’est pas annihilé par la qualité de celle-ci et ses coûts de production (eau, nourriture, traitement…).
La réponse pour mon cas est de réduire un maximum ma consommation de viande : une à deux fois par semaine, voire zéro quand je le peux.
Pareil avec le poisson : je me limite à une fois par semaine et je compense dans mon alimentation avec des protéines végétales et des denrées riches en vitamines.
Je ne me prétendrais pas végétarienne et ne clamerais pas que tout le monde devrait l’être, mais consommer responsable est à la portée de tout un chacun !
À lire aussi : Comment se mettre au bio quand on est fauchée ?
Prêter attention aux emballages — et lutter contre le suremballage
Préférer les ingrédients non transformés réduit l’impact écologique et l’emballage, tout comme cuisiner soi-même des produits de saison et réguler sa consommation de viande en fonction de ses besoins, et pas par habitude ou par défaut.
Beaucoup de plats surgelés contiennent de la viande, par exemple, parce qu’un plat n’est pas jugé complet si il n’en contient pas, alors qu’elle n’apporte que peu de nutriments.
On peut aussi réfléchir sur d’autres gestes auxquels on ne pense pas : saviez-vous qu’il faut en moyenne 21 000 litres d’eau pour produire un kilo de café, contre 9 200 pour un kilo de thé ?
Si on calcule que le Français moyen consomme 5kg de café par an, passer du café au thé économiserait 60 000 litres d’eau/an ! À titre comparatif, c’est l’équivalent d’un bain par jour pendant une année.
Ce n’est pas une raison pour passer au thé et prendre un bain tous les jours, mais voilà l’idée.
Il ne suffit pas de fermer le robinet en se brossant les dents, mais certains petits gestes qui ne sont pas de grands renoncements peuvent changer beaucoup de choses.
Le site ConsoGlobe est une excellente plateforme vivante qui compile des astuces, possède son e-shop et permet de consulter plein d’articles sur l’écologie.
Bonne résolution écologique : prendre le vélo plus souvent (et marcher, aussi)
Privilégier la marche à pied ou le vélo, c’est écolo ! Parfois, c’est évidemment dangereux ou impossible, du coup il est bon de penser aux alternatives lorsque l’on voyage, comme le covoiturage, et de garder en tête que chaque déplacement est polluant.
Certaines associations permettent de compenser l’impact écologique de son déplacement par un don, ou une action humanitaire en faveur de la protection de l’environnement.
Ne serait-ce que réfléchir à la question plus souvent est un cap, une résolution que je souhaite prendre pour l’année à venir.
Toi, roulant vers l’écologie.
Réduire ma consommation énergétique durant l’année à venir
Cela peut passer par l’extinction des appareils ménagers laissés en veille, ou par veiller à ce que l’électroménager utilisé ne soit pas trop gourmand.
Parfois, on n’a pas le choix : on hérite d’une machine à laver qui date de Mathusalem, et qui consomme beaucoup. Avoir le réflexe, quand on achète du neuf, de regarder la meilleure option en terme de consommation énergétique est déjà un geste utile.
Je compte investir dans des multiprises intelligentes et rationaliser ma consommation énergétique en général : éteindre le chauffe-eau quand je pars longtemps en vacances, ne plus oublier de débrancher tel ou tel appareil… et bien refermer le frigo (pas avec le pied, on t’a vu·e) !
Mieux utiliser les moteurs de recherche, mon geste écolo
Rien que de taper l’adresse d’un site que l’on connaît déjà dans la barre d’adresse permet d’économiser beaucoup d’énergie au niveau des serveurs. Deux recherches dépensent autant d’énergie que de faire chauffer une bouilloire (et si la vôtre est comme la mienne, ça veut dire qu’elle fait sauter les plombs tout le temps).
Google le conteste, mais il est facile de comprendre que quoi qu’il arrive, on évite une dépense d’énergie en faisant ce geste simple.
Vous pouvez par exemple utiliser un moteur de recherche éthique et écologique comme Ecosia : cette entreprise allemande compense l’empreinte carbone de vos recherches et verse 80% de ses bénéfices à des projets de reforestation en Amazonie. Vous pouvez suivre le nombre d’arbres que vous faites planter, et c’est très chouette !
Partager mes bonnes résolutions écologiques (et plus encore) avec mon entourage
Que ce soit en parlant écologie sur madmoiZelle ou en proposant à ma famille et mes amis d’adopter certaines de mes résolutions, j’agis pour le climat, la biodiversité, la santé de tout le monde.
Je compte bien relayer à titre personnel ou en tant que rédactrice sur tous supports les initiatives intéressantes et les rapports importants qui pourraient amener plus de monde à réfléchir sur notre avenir commun !
L’important, c’est de ne pas avoir l’impression d’agir dans son coin, en se révoltant dans son cœur mais sans proposer aux autres de nous suivre. Qu’ils me trouvent relou, je m’en fiche : je n’insisterai pas à chaque conversation sur l’écologie.
Mais proposer cette éducation dont j’ai bénéficié et cette patience aux autres, tout en continuant à m’informer est mon objectif final pour l’année à venir !
Ça aidera CETTE LOUTRE à avoir un meilleur milieu de vie ?
Si ça t’ intéresse, tente de voir quels écogestes tu serais prêt-e à faire sur le site ConsoGlobe, en validant ou pas le défi !
N’hésite pas non plus à partager avec moi tes résolutions écologiques pour l’année (ou les années ?) à venir dans les commentaires de cet article. Ça me permettra peut-être d’en adopter d’autres auxquelles je n’avais pas pensé !
À lire aussi : Le réchauffement climatique, un problème de riches, vraiment ?
Et si le film que vous alliez voir ce soir était une bouse ? Chaque semaine, Kalindi Ramphul vous offre son avis sur LE film à voir (ou pas) dans l’émission Le seul avis qui compte.
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