Alfredette t’a concocté une sélection de dix classiques cinématographiques à regarder pendant les fêtes de fin d’année, sous la couette avec un chocolat chaud à la main.
Quelle meilleure période que celle des fêtes de fin d’année pour se blottir dans son canapé en compagnie d’un monument du septième art – ou d’une comédie franchouillarde bien sentie – pour se délecter de répliques cultes en bouffant de la glace à la vanille ? Aucune, assurément. Si, dans vos contrées, il fait trop froid pour mettre un demi-orteil dehors et que le cinéma est votre seul échappatoire, voici une liste non-exhaustive de films qui devraient mettre une bonne couche de baume dans vos petits coeurs. C’est parti.
NB : la présente liste peut aussi faire office de liste de cadeaux de Noël en retard.
Autant en emporte le vent – Victor Fleming, 1939
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L’intrigue : Scarlett O’Hara, capricieuse et riche jeune femme qui parvient à rester sublime même lorsqu’elle est vêtue de rideaux vert foncé, est aux prises avec l’histoire ainsi qu’avec ses amours tumultueuses. Il est impossible de faire un résumé succinct de ce film magnifique qui fait chavirer le palpitant de millions de gens depuis 70 ans. Aussi, je n’aurais qu’un conseil à donner à celles qui ne l’auraient pas encore vu : courrez. Le. Voir. Vite. Voilà.
Dans le même genre, on trouve aussi… :Un Tramway Nommé Désir, film sombre et puissant dans lequel on retrouve Vivien Leigh ainsi que l’irrésistible Marlon Brando.
It’s a wonderful life – Frank Capra, 1946
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Si vous n’avez pas encore vu ce film – religieusement rediffusé sur Arte tous les Noëls, courrez l’acheter dans la Fnac la plus proche. Dieu vous le rendra (ou pas).
L’intrigue : George Bailey a renoncé à ses rêves de voyages et d’aventure pour faire le bien autour de lui. Un soir, alors qu’il égare une forte somme d’argent, il songe au suicide : c’est alors qu’un ange est dépêché à sa rescousse pour le convaincre de ne pas en finir avec l’existence.
Dans le même genre, on trouve aussi… :L’homme de la Rue (Meet John Doe), du même réalisateur : un petit bijou.
Quai des Orfèvres – Henri-Georges Clouzot, 1947
L’intrigue : Dans le Paris des années quarante, Jenny Lamour, chanteuse de music-hall, et son mari, sont soupçonnés du meurtre d’un vieillard cacochyme, riche et pervers. L’inspecteur Antoine, incarné par un Louis Jouvet brillant et cynique, est chargé de l’enquête.
Dans le même genre, on trouve aussi… :Knock, porté par un Louis Jouvet au sommet de son art. Les groupies du Docteur House devraient apprécier cet hymne à la médecine moderne.
Singing in the rain – Stanley Donen et Gene Kelly, 1952
https://www.youtube.com/watch?v=36QiuRc_3I8
L’intrigue : Au cours des années 20, une révolution vient faire chavirer le monde figé du cinéma muet : l’apparition du cinéma parlant. Cette découverte vient chambouler le parcours de trois artistes – Don Lockwood, Cosmo Brown, et Kathy Selden, dont nous suivons les péripéties avec délectation.
Dans le même genre, on trouve aussi… : L’immortel West Side Story, mais aussi le charmant Hair, le truculent Grease ou encore le délicieux Rocky Horror Picture Show.
La panthère rose – Blake Edwards, 1963
L’intrigue : L’inspecteur Clouseau, drolatique personnage dont la cocasserie n’a d’égale que son nombre de gaffes à la minute, est en charge de protéger un inestimable diamant, «la panthère rose».
Dans le même genre, on trouve aussi… : Les autres Panthère Rose : Blake Edwards, dans sa grande magnanimité, en a tourné six autres volumes, tous plus drôles les uns que les autres.
Docteur Jivago – David Lean, 1965
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L’intrigue : Il est vraiment impossible de résumer en quelques phrases un film aussi dense et aussi abouti que le Docteur Jivago
mais je vous parie une boîte de Lindt qu’il ne vous décevra pas. La version livresque du Docteur Jivago, qui a valu un prix Nobel de littérature à son auteur, Pasternak, est hautement recommandable également.
Dans le même genre, on trouve aussi… : Il est fort difficile de trouver un film équivalent au chef d’oeuvre de David Lean : toutefois, si vous êtes éprises de steppes glacées et de Russie, Ivan le Terrible de Serguei Einsenstein devrait beaucoup vous plaire.
Le roi et l’oiseau – Paul Grimault, d’après Jacques Prévert, 1979
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L’intrigue : Dans une ville imaginaire, qui pourtant ressemble à maints endroits de notre vaste monde, le cruel roi Charles V + III = VIII + VIII = XVI règne en despote. Seul un oiseau contre ses plans machiavéliques, et tente de rétablir la liberté au royaume de Tackikardie.
Dans le même genre, on trouve aussi… : Certains films de Tati : Mon oncle, Les vacances de monsieur Hulot… Mais celles qui ont été conquises par la poésie du Roi et l’oiseau aimeront sans doute La table tournante, court métrage réalisé par Paul Grimault et Jacques Demy.
La Rose Pourpre du Caire – Woody Allen, 1985
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L’intrigue : Dans les années 30, Cécilia s’échappe de sa vie étriquée en allant tous les soirs au cinéma. Alors qu’elle regarde pour la troisième fois le même film, l’un des acteurs sort de la pellicule et l’entraîne dans une histoire aux maints rebondissements
Dans le même genre, on trouve aussi… :Reality, un film italien sorti cette année qui propose une réflexion originale sur le même thème.
Bridget Jones – Sharon Maguire, 2001
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Et maintenant, ôtons nos chapeaux pour causer de Bridget Jones, notre soeur, notre amie, notre mère spirituelle à toutes. Amen.
L’intrigue : Bridget Jones, loseuse magnifique, est aux prises avec la trentaine, sa mère, un bellâtre blondinet et moult autres périls de la modernité. Puis elle achète un journal dans lequel elle consigne toutes ses bonnes résolutions (cesser de fumer comme trois pompiers, arrêter de boire comme trois bretons, etc.), et voit sa vie changer peu à peu.
Dans le même genre, on trouve aussi… :Mes meilleures amies, excellente comédie US sortie l’été dernier, qui ferait rire une larguée de la veille.
Big Fish – Tim Burton, 2003
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L’intrigue : William revient au chevet d’Edward Bloom, son père atteint d’un cancer en phase terminale, pour se rapprocher de lui et découvrir ses secrets. Tim Burton nous embarque alors dans une formidable aventure, où le rêve et la réalité s’entrelacent harmonieusement.
Dans le même genre, on trouve aussi… :L’étrange histoire de Benjamin Button, par David Fincher.
Et vous, quels sont les grands classiques du ciné-cinéma que vous aimez à voir ou revoir en cette période des fêtes ?
Je dis oui pour Big Fish et pour Chantons sous la pluie!
En grande fan de Audrey Hepburn que je suis, j'adore regarder Drôle de frimousse (Funny face) et My Fair lady, ces films mon dieu! J'aime aussi regarder Moulin Rouge mais je doute qu'on puisse lui donner le statut de classique?
Peut-être pas de classique, mais étant le meilleur film du monde on peut le citer .
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