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Culture

Dix bouquins « pour petites/jeunes filles » que tout le monde devrait lire

Les bons livres pour enfants, on le sait, ne sont pas QUE pour les enfants. LadyDandy vous liste donc dix livres pour petites ou jeunes filles à (re)découvrir quel que soit votre âge !

Quand quelqu’un offrait un bouquin cool aux marmots que nous étions, c’était toujours pour mon frère. Ainsi, il empilait les ouvrages consacrés aux vikings, aux pirates, aux vieilles locomotives, aux chevaliers de la table ronde, aux celtes…

Alors que je recevais plus des trucs brillants dont je ne voyais pas spontanément l’usage (le nombre de fois où on m’a offert du gel douche au parfum improbable… DU GEL DOUCHE quoi ! À huit ans ça éveillait moins mon intérêt qu’un pet de macaque).

Je passais donc mon temps à emprunter ses précieux ouvrages à l’intéressé au prix de divers marchandages (je te donnerai un carré de mon chocolat du goûter en échange de ton livre sur les pirates pour la demi-journée).

Néanmoins, j’ai quand même reçu pas mal de livres « pour filles » vraiment cool que je n’échangerais pour rien au monde. Petite sélection non-exhaustive.

Les classiques pour de (très) bonnes raisons

Les quatre filles du docteur March, de Louisa May Alcott

C’est un roman « tranches de vie » (comme la quasi-totalité de cette sélection à vrai dire) ; on y suit le quotidien des quatre soeurs March et de leur mère dans l’attente du retour de leur papa pendant la guerre de Sécession.

D’un côté, c’est un roman un peu moralisateur et tous les discours très « religion à l’américaine », sur les pèlerins et compagnie, me semblaient atrocement obscurs et rébarbatifs. De l’autre, même ça, en grandissant, ça devient intéressant et surtout c’est fin, c’est juste, cocasse, c’est distrayant, attachant, chaleureux et on a toutes un peu de Meg, Jo, Beth et Amy en nous.

Vraiment, je conseille sans modération : Les quatre filles du docteur March est un des livres que j’ai le plus lus et relus, en VO comme en VF). À noter :

  • Le titre français trompeur puisque le papa n’est pas docteur mais pasteur…
  • L’édition française scinde aussi Les quatre filles du docteur March et Le docteur March marie ses filles alors qu’ils sont considérés comme une seule oeuvre en version anglo-saxonne.
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Les soeurs March ont pour tradition d’entonner des chansons paillardes à la lueur des bougies.

Pour les adaptations : ma préférée est celle de Cukor avec la fantastique, la fascinante, la merveilleuse Katharine Hepburn — la meilleure Jo du monde — mais je n’ai détesté aucune adaptation de ce livre, de celle avec Elizabeth Taylor en Amy qui arbore une moumoute blonde à l’anime japonais où l’Allemand de Jo est remplacé par un adorable journaliste.

Anne… la maison aux pignons verts, de Lucy Maud Montgomery

Moins connu que le précédent, c’est quand même un vrai classique et on comprend pourquoi.

Anne, petite orpheline, débarque à Avonlea chez un timide vieux garçon et sa soeur aux préceptes rigides, alors qu’ils voulaient tous deux adopter un garçon. D’abord réticents (surtout la terrible Marilla) ils finissent par s’attacher à l’étrange petite fille qu’ils ont recueillie et dont l’imagination et la grandiloquence exacerbée irritent autant qu’elles touchent.

On navigue entre de magnifiques descriptions de la nature canadienne et les maladresses de l’héroïne sur un ton drôle et poétique. Le petit univers d’Avonlea est vraiment très attachant et l’évolution des personnages fine et crédible.

Ce livre est le premier d’une longue série apparemment mais je n’ai jamais lu la suite ; si quelqu’un a tout fini, je suis prête à être spoilée !

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Anne s’apprête à éclater son ardoise sur la tronche de cet empaffé de Gilbert Blythe

Il y a eu de nombreuses adaptations mais je n’ai vu que les téléfilms de 1985 et 1987 avec Megan Follows qui campe vraiment une héroïne adorable. Je les recommande, on retrouve bien l’univers du roman.

La Petite Princesse, de Frances Hodgson Burnett

De la même auteure, il faut aussi lire Le Jardin Secret même si je préfère La Petite Princesse — n’en déplaise à une certaine amie avec laquelle je me suis récemment disputée à ce sujet à base de :

–  Non ! – Si ! – Non ! – Si !

Sara Crewe, une petite fille imaginative et généreuse (oui, elle est plus ou moins parfaite, même si elle n’est pas super jolie et peut s’emporter) est envoyée par son père, qui l’a élevée en Inde, dans un pensionnat londonien où sa fortune lui donne droit à un traitement de faveur.

Coup de théâtre : son père meurt ruiné et voilà Sarah obligée de travailler comme une souillon dans le pensionnat.

Petite, j’arrêtais de lire à ce moment-là : j’adorais la partie où l’on décrivait les fastes de la vie de princesse, les contes merveilleux inventés par Sarah et la noblesse de son comportement avec des élèves moins chanceux qu’elle, mais la voir tout perdre me rendait trop triste et je ne poursuivais pas.

En fait, l’intérêt réside dans l’opposition entre les deux parties et le fait que le bien réalisé quand elle avait de l’influence finit par avoir des retombées positives sur elle dans sa déchéance. Et ça finit bien !

C’est un peu misérabiliste par moment mais l’héroïne est tellement extraordinaire et humaine dans sa perfection, elle a tellement d’énergie et de coeur que ça passe carrément bien.

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Sara ne le sait pas encore, mais d’ici peu on pourra la rebaptiser miss VDM

Pour les adaptations, je déconseille l’anime qui enlève tout ce qui faisait l’intérêt et la force du personnage principal pour en faire un genre de greluche niaise au possible (la VF n’aide pas… ), mais je recommande très chaudement le film d’Alfonso Cuarón malgré les grosses libertés prises avec l’intrigue du roman. Ça reste vraiment un superbe film.

Les rétros au charme désuet

Malory School, d’Enid Blyton

Vous avez de la chance, Malory School a été récemment réédité : à l’époque où je me le suis racheté, j’avais le choix entre des vieux bouquins à moitié introuvables et hors de prix ou l’édition anglaise aux couvertures moches de chez moches (résultat j’ai toute la collec avec les illustrations très très moches de l’édition anglaise). En plus la réédition bénéficie des très jolis dessins d’Aurélie Neyret !

Que dire sur Malory School… c’était mon Poudlard avant que je ne me mette à Harry Potter. On suit les aventures d’un groupe de jeunes filles dans une pension anglaise aux airs de château. On voit leurs évolutions sur plusieurs années dans cet espèce de cocon qui peut être le théâtre de véritables cruautés.

Le développement psychologique est vraiment fin. J’aime beaucoup relire mes vieux Club des Cinq, mais Malory School est plus profond et mature et je trouve cette ribambelle de filles plus attachantes et nuancées (de toute façon, l’héroïne ressemble beaucoup à Claude qui est le personnage le plus charismatique du Club des Cinq : on ne perd pas au change).

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Pour une fois que c’est nous qui avons la plus belle édition !

Fantômette, de Georges Chaulet

Bon, d’accord, Fantômette n’est pas la plus réaliste des séries pour enfants : l’héroïne est une gamine surdouée, hyperactive, riche et probablement orpheline ou émancipée, qui vit sans personne pour la surveiller et passe sa vie à sauver le monde en bonnet à pompon.

Mais ces romans ont vraiment beaucoup de charme. Les personnages secondaires n’étant pas en reste, on a Ficelle alias la fille dingue et passionnée, maladroite mais vaniteuse qui s’ignore et avec qui on ne s’ennuie jamais, Oeil-de-Lynx, le reporter sexy (aucune ambiguïté avec Fantômette hein, c’est une gamine, n’empêche qu’il était sexy), les policiers formidablement incompétents, les méchants très méchants (dont le célèbre Masque d’Argent et son fils travesti) et beaucoup beaucoup beaucoup de jeux de mots à la con qui me font quand même sourire.

Après, y a le personnage de Boulotte qui est caractérisée comme « la fille grosse qui bouffe », ce qui est assez problématique mais bon… Elle s’aime comme elle est (quand elle fait des longueurs de piscine elle prépare le paquet de chips pour rattraper les calories perdues) et c’est cool.

Pour parachever : le style est vraiment très bon. Un tas d’écrivains se torchent avec la qualité sous prétexte qu’ils écrivent pour les enfants ; Georges Chaulet, lui il se fout pas des marmots et c’est cool parce qu’il y a très peu de livres que j’adorais enfant et que je peux relire aujourd’hui sans pleurer âprement sur le style.

fantomette

J’adore les situations hautement improbables des couvertures, genre « Hihi je saute au-dessus d’une pyramide ». À l’époque de Tremechan et ses détournements de Martine, on trouvait aussi quelques détournements de Fantômette qui me faisaient doucement rigoler !

Ceux qui ont un fort potentiel comique

Le Journal Intime de Georgia Nicolson, de Louise Rennison

La base de mon humour de mauvais goût… et bien sûr je ne lui arrive pas à la cheville.

Alors objectivement, Le journal intime de Georgia Nicolson a assez peu d’intérêt en terme d’histoire : c’est une collégienne avec une bande d’amies, qui gravite entre trois garçons (dont deux vraiment trop âgés pour elle). Ses centres d’intérêt sont assez superficiels, c’est pas très profond et relativement prévisible mais mondieu qu’est-ce que c’est drôle !

Parce que ce qui fait le sel de tout ça, ce sont ses danses vikings (CORNE !) ses néologismes (la maturitude, la glaciosité) ses expressions (le rosissement popotinal, les yeux en caramel mou, les couvre-fesses) et surtout, la dinguerie de tout le petit monde qui l’entoure, à commencer par son chat Angus au sang écossais qui maltraite les chiens des voisins (les frères Dugenou), de sa petite soeur dégueulasse ascendant psychopathe et de ses parents complètement décalés.

Mes passages préférés restent les moments à l’école, quand elle décrit avec une cruauté jubilatoire (non dénuée d’un tantinet de tendresse cachée) son prof d’allemand adepte des shorts, sa prof de sport tyrannique, l’idéaliste vieille fille qui enseigne l’éducation religieuse, Lindsay la Nouillasse…

À lire absolument : poilade garantie ! Et la traduction française est ultime.

Et SURTOUT, évitez l’adaptation de Gurinder Chadah qui passe complètement à côté de ce qui fait l’intérêt des bouquins.

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La réédition a des couvertures très bof qui témoignent pas du tout de l’ambiance de la série. Je suis bien contente d’avoir la collec avec les images de Claire Bretécher même si elle n’a pas fait les derniers tomes.

Journal d’une princesse, de Meg Cabot

J’aime beaucoup Meg Cabot… Même si ses héroïnes se ressemblent toutes et que c’est un peu répétitif, ce qu’elle écrit se lit bien et elle n’hésite pas à aborder de vrais problèmes liés à l’adolescence de manière frontale, sans pudibonderie.

Ses héroïnes sont aussi très féministes (et elles n’en ont pas honte) et ont du plomb dans la tête même si elles manquent franchement de recul sur leur vie amoureuse (ce qui est parfois passablement irritant).

Du coup, Journal d’une princesse c’est l’histoire de Mia Thermopolis qui apprend à 14 ans qu’elle est l’unique héritière d’une petite principauté européenne (Genovia) et doit donc prendre des leçons de princesse auprès de son horrible grand-mère aux sourcils tatoués.

On donnerait parfois des claques à Mia (jusqu’à la fin) mais elle évolue quand même dans un petit monde très sympathique. Dans le dernier tome, l’auteur fait à travers son personnage une défense du roman d’amour (par rapport à un certain snobisme égotique de l’autofiction : on sent le vécu) et c’est bien fait.

Sur dix tomes, y a un tas de choses sympa, le tout ponctué de mille et unes références à la pop culture qui rendent presque nostalgique (dans les premiers tomes on évoque par exemple le début de la diffusion de Charmed).

journal-princesse

Pour les illustrations, j’ai lu le premier tome avec une illu photo façon Coeur Grenadine, puis alternativement avec les superbes couvertures de Chesley McLaren et les livres de poches moins chers mais moins jolis… Enfin, c’était toujours mieux que les couvertures des derniers tomes que j’ai achetés et qui sont de VRAIS foutages de gueule : juste des trucs roses avec des paillettes mochissimes. On dirait une déco Skyblog.

Sinon… les adaptations Disney sont vraiment bêbêtes et pas fidèles, mais ça peut être un plaisir coupable et Anne Hathaway était déjà très bien.

Les histoires de soeurs

J’aurais aussi pu y ranger les soeurs March mais bon…

Quatre soeurs, de Malika Ferdjoukh

Parmi les livres que j’ai le plus relus aussi, Quatre soeurs (qui sont cinq… mais la série ne compte que quatre tomes, hélas) raconte la vie de Charlotte dite Charlie, Geneviève, Bettina, Hortense et Enid, orphelines depuis peu, mais à qui leurs parents font parfois des petits coucous de l’au-delà.

Elles habitent toutes ensemble avec une tripotée d’animaux dans la Vil’Hervé, une grande bâtisse au bout du bout du bout de la falaise au fin fond de la Bretagne. Autour d’elles gravitent une foule de personnages aux prénoms improbables (Béhotéguy, Gulliver, Basil, Tancrède…) et bien qu’on soit dans des tranches de vie, le fantastique n’est jamais loin et peut prendre la forme d’un gnome de la chasse d’eau (nommée Cary Grant) ou d’une tante pingre à souhait qui se manifeste dès qu’on prononce son nom et écoute un crooner impayable (Engelbert Humperdinck… il existe vraiment).

Le style est vif et malicieux et dépeint ambiances et personnages par touches vives et précises, les dialogues sont hilarants et sonnent de façon très juste et spontanée. L’auteure, passionnée des mélodrames, de comédies musicales et de littérature, multiplie les allusions et hommages qui peuvent donner des idées ou renforcer l’impression de familiarité ; c’est doux, c’est tendre mais ce n’est jamais niais pour autant et les personnages ne sont pas épargnés par les désillusions ou les erreurs de jeunesse.

Le seul défaut de cette série de livre à mon sens est qu’elle est VRAIMENT trop courte. Pour poursuivre le plaisir, on a cependant la magnifique adaptation en BD de Cati Baur et une petite série d’histoires courtes inédites écrites par Malika Ferdjoukh et mises en dessin par Lucie Durbiano.

quatre-soeurs

Les Penderwick, de Jeanne Birdsall

Avec Les Penderwick, on part d’une base assez similaire à celle de la série précédente (quatre soeurs qui ont fait face à la parte d’un parent) mais l’ambiance est assez différente.

C’est plus niais (avec un happy end vraiment trop pailleté pour moi), moins nuancé que Quatre soeurs, mais ça reste néanmoins une excellente série (dommage que le troisième tome ne soit pas sorti en français d’ailleurs… même si la traduction a fait le choix bizarre de changer les prénoms).

On suit les parcours de Rosalind, Skye, Jane (Jeanne en VF) et Batty (Linotte en VF) qui vont de treize à cinq ans et ont des centres d’intérêt allant du football à la littérature en passant par la cuisine, les mathématiques et les animaux : leurs petits univers respectifs sont très bien saisis et les changements de point de vue et de style très bien gérés (l’auteur a un vrai don pour nous faire entrer dans la tête de ses héroïnes, allant de la sage Rosalind à la toute petite Batty). On garde un certain humour aussi et beaucoup de naturel dans leurs interactions. Un vrai plaisir de lecture.

penderwicks

Les jolies couvertures d’origine ont été gardées en VF !

L’inclassable

Drôles de danseuses (Bad News Ballet/Scrambled Legs), de Jahnna N Malcolm

La série que personne connaît : dix tomes en VO (je ne sais pas s’ils ont tous été traduits, j’en ai trouvé quelques-uns mais j’ai dû compléter ma collec’ avec l’édition américaine).

J’en avais reçu un pour mon anniversaire par hasard (après ça avait été la croix et la bannière pour trouver les autres en librairie) et là où je m’attendais à un roman sur la danse et le pouvoir de la passion blabla, je suis tombée sur un livre sur l’amitié, la différence, l’exclusion, les complexes, écrit avec beaucoup d’humour et même un tantinet d’ironie.

On suit cinq préados dont les diminutifs me laissaient perplexe quand j’étais petite : Zan, Rocky, Mortie (McGee en VO), Mary et Gwen, que les mères respectives forcent à suivre un cours de danse alors qu’elles détestent ça. Mais les cinq filles en viennent à apprécier les cours parce que c’est le seul moment où elles se retrouvent ensemble.

J’adore le côté décomplexant de cette série : les cinq héroïnes sont vraiment nulles en danse, manquent de grâce, ne sont ni des super canons, ni des cracks en classe, mais c’est dédramatisé parce qu’il n’y a pas que ça dans la vie.

Elles sont toutes très différentes : physiquement elles vont de très grande et maigre à petite ronde avec des origines latino, métissées ou écossaises ; leurs milieux, leurs centres d’intérêts varient énormément et elles s’entendent quand même comme larrons en foire. Elles se soutiennent mutuellement dans l’univers de la danse où elles se sentent si incongrues (et même ailleurs : toute la bande vient soutenir la pauvre Gwen quand sa mère la traîne acheter un soutif… je me suis bien reconnue dans ce trauma).

C’est pas très, très profond (quand même plus réfléchi et marrant que le Club des Baby Sitters ou Grand Galops, des séries du même style de la même période) mais c’est vraiment une série coup de coeur pour le message positif qu’elle transmet.

danseuses

Les couvertures françaises avaient pas mal minci et blanchi les personnages (même les blancs sont plus blancs que blancs)… Et je veux une réédition avec les couvertures kitschouilles américaines (et les petites bulles) !

Alors maintenant, direction la section jeunesse de votre bibliothèque préférée, et que ça saute !


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Les Commentaires

49
Avatar de Justine DSB
22 novembre 2014 à 15h11
Justine DSB
Super liste.
Etant petite, enfin, pré-ado disons, je lisais et relisais les livres 4 filles et un jean d'Ann Brashares.
J'ai adoré
0
Voir les 49 commentaires

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